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Saison 2010-2011 : bilan statistique


Juste pour le plaisir d'observer les pratiques culturelles et surveiller un peu où mène son goût lorsqu'on le suit sans plan d'ensemble : classement comme l'an passé par lieu, genre et période.

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A. Chronologie

Concert 1 : Poulenc en anglais et Barber en français (Le Roux / Cohen) au Théâtre Adyar
Concert 2 : Deuxième Symphonie de Mahler (Nézet-Séguin / Rotterdam PO / Collegium Vocale) au Théâtre des Champs-Elysées
Concert 3 : Armide à Abou Ghraib (Théâtre de Genevilliers)
Concert 4 : Reprise du Fliegende Holländer de Wagner à l'Opéra Bastille (Schneider / Decker)
Concert 5 : Webern / Chausson / Dutilleux / Schumann à Pleyel (Billy / Orchestre de Paris)
Concert 6 : Le Messie de Haendel par Harry Christophers et The Sixteen (à la Cité de la Musique)
Concert 7 : Eugène Onéguine de Tchaïkovsky à Bastille
Concert 8 : Lodoïska de Cherubini au Théâtre des Champs-Elysées
Concert 9 : Les Gesänge Op.111 de Max Reger par la Maîtrise de Radio-France
Concert 10 : Opéras inachevés de Chostakovitch : Les Joueurs et Le Grand Eclair
Concert 11 : Cantates du prix de Rome, un parcours historique
Concert 12 : L'Art de bien chanter de Bénigne de Bacilly par Monique Zanetti et l'Ensemble à deux Violes Esgales
Concert 13 : Das Marienleben ("La vie de Marie") de Paul Hindemith sur le cycle de Rainer Maria Rilke
Concert 14 : Il Trittico ("Le Triptyque") de Giacomo Puccini à l'Opéra Bastille
Concert 15 : Le Vagabond Ensorcelé de Rodion Chtchédrine par Gergiev et le Marinsky
Concert 16 : Die Schöne Müllerin par Padmore et Fellner à Gaveau
Concert 17 : Mathis der Maler de Hindemith à Bastille
Concert 18 : Cadmus & Hermione de LULLY par Dumestre & Lazar
Concert 19 : Résurrection de Bellérophon de Lully à la Cité de la Musique
Concert 20 : Les Fiançailles au Couvent de Prokofiev à l'Opéra-Comique (Sokhiev / Duncan)
Concert 21 : Songs par Simon Keenlyside et Malcom Martineau à l'auditorium d'Orsay
Concert 22 : Airs de cour à l'église des Billettes par Guillemette Laurens et Miguel Yisraël
Soirée 23 : Entrée de Francesca Da Rimini de Zandonai au répertoire de l'Opéra de Paris
Soirée 24 : Ring de Poche à Saint-Quentin-en-Yvelines (scène ouverte)
Soirée 25 : Anacréon II et Pygmalion de Rameau par les Arts Florissants
Soirée 26 : Cendrillon de Massenet à l'Opéra-Comique (Minkowski)
Soirée 27 : Siegfried de Wagner à Bastille (Ph. Jordan / Krämer)
Soirée 28 : Ariane et Barbe-Bleue de Dukas à Pleyel (Karnéus / Deroyer)
Soirée 29 : Lieder de Marx, Mozart, Mahler, Schönberg, Berg et bluettes viennoises par Kirchschlager / Deutsch à l'auditorium
d'Orsay Soirée 30 : Ismène & Isménias de La Borde / Laujon, en re-création mondiale au Conservatoire de Choisy-le-Roi
Soirée 31 : Le Freischütz en français, version Berlioz, à l'Opéra-Comique
Soirée 32 : Un Tramway nommé Désir par Lee Breuer salle Richelieu
Soirée 33 : Atys de Christie / Villégier à l'Opéra-Comique
Soirée 34 : Atys de Christie / Villégier à l'Opéra-Comique (bis)
Soirée 35 : Polichinelle Atys ou Atys travesti, parodie de Carolet à l'Opéra-Comique
Soirée 36 : Le salon de Marguerite de Saint-Marceaux
Soirée 37 : Le salon de Winnaretta Singer, princesse de Polignac
Soirée 38 : War Requiem de Britten à la Basilique de Saint-Denis
Soirée 39 : Classe de Jeff Cohen au CNSM : initiation au récital de lied
Soirée 40 : Le Pouvoir de l'Amour de Royer au CRR de Paris
Soirée 41 : Le Pouvoir de l'Amour de Royer au Théâtre Montansier de Versailles
Soirée 42 : Les Piliers de la société d'Ibsen au Théâtre de l'Aquarium (Cartoucherie)
Soirée 43 : Il Postino de Daniel Catán au Châtelet

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2. Lieux

Fréquentations régulières :
Opéra-Comique : 7
Opéra Bastille : 6 (+1 Amphithéâtre)
Auditorium d'Orsay : 6

Retours :
Salle Pleyel : 3
Cité de la Musique : 3
Théâtre des Champs-Elysées : 2
Théâtre du Châtelet : 2

Une seule fois :
Amphithéâtre de l'Opéra Bastille : 1
Salle Richelieu : 1
Eglise des Billettes : 1
Salle Gaveau : 1
Salle d'Art Lyrique du CNSM : 1
Auditorium du CRR de Paris : 1
Théâtre Montansier de Versailles : 1
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines : 1
Basilique Saint-Denis : 1
Théâtre Adyar : 1
Auditorium du Conservatoire de Choisy-le-Roi : 1
Théâtre de l'Aquarium (Cartoucherie) : 1
Théâtre de Genevilliers : 1
Atelier de la Main d'Or : 1

Aussi bien des salles que j'ai exceptionnellement peu fréquentées que d'autres où je ne suis pas appelé, en principe, à retourner avant quelque temps...

Si l'on compare à la saison passée, le changement est considérable : l'Opéra-Comique n'était qu'à 2, et Orsay à 0 ! Au contraire le TCE s'élevait à 7, Richelieu à 6, et l'Archipel, totalement absent cette saison (faute aussi d'avoir publié correctement leur programme), à 4. Les salles "à 1" ont aussi grandement varié.

Bref, ce sont les oeuvres qui font déplacer, clairement, et le choix des salles se fait plus par la négative lorsque les conditions de confort ou d'acoustique nuisent réellement au spectacle (l'Aquarium, étuve non climatisée, et Saint-Denis, qu'on entend mieux à la radio).

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C. Genres :

Concerts d'airs de cour : 2
Concerts de lied : 4
Concerts de mélodie : 5
Concerts de songs : 2
=> Total genre lied : 13

Opéras mis en scène : 20
Opéras en version de concert : 5
Oratorio et cantates : 3
=> Total opéra : 28 (dont 6 tragédies lyriques)

Concerts pour choeur : 1
Concerts symphoniques : 2 (dont musique contemporaine 1)
Théâtre : 2

J'ai compté plusieurs fois la même soirée dans le cas où elle comprenait plusieurs genres.

Part écrasante consacrée à la musique vocale, il faut dire qu'on disposait de peu de raretés instrumentales dans les programmes, à moins de chercher des bouquets assez dépareillés en musique de chambre. Aucun concert pour la musique de chambre de toute façon, tout simplement parce que la plus-value est moindre en salle par rapport à la musique vocale ou à la musique symphonique, et ce malgré ma tendresse bien plus grande pour elle que pour le symphonique.

Cette deuxième saison parisienne a tout simplement accentué certains tropismes : j'ai pu vérifier ce qu'il était utile d'aller voir en concert et ce pour quoi on pouvait très bien se contenter du disque. Vu la générosité de l'offre, on est aussi moins enclin à la prise de risque, à sacrifier une soirée qui pourrait être mieux employée (ce qui explique peut-être pour partie la sévérité absurde d'une partie public concertophage) : la musique contemporaine en fait les frais, ne portant pas la même exaltation (ni bien sûr la même certitude) qu'une bête tragédie lyrique qui reproduit à l'infini les mêmes canevas cent ans après Lully...

En revanche, la toute petite place du théâtre est là faute d'avoir totalement trouvé mes repères en la matière : déçu par la sonorisation systématique des comédiens-français, je n'ai pas trouvé de théâtre où je prenne mes quartiers. L'offre est tellement touffue et obscure (contrairement au concert, difficile de se faire aisément l'image d'une pièce récente, nouvelle, adaptée, etc.).

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D. Périodes :

XVIIe1 : 1
XVIIe2 : 7
XVIIIe1 : 7
XVIIIe2 : 3
XIXe1 : 7
XIXe2 : 12
XXe1 : 16
XXe2 : 8
XXIe : 2

Ici aussi, j'ai pu répartir le même concert sur plusieurs entrées.

Hé oui, malgré l'abondance de commentaires sur la tragédie lyrique, c'est le XIXe tardif et le premier XXe qui l'emportent largement, numériquement. Tout simplement parce que c'est un domaine où beaucoup de raretés sont données en concert, et que vu les qualités d'orchestration, par exemple, la salle fait beaucoup gagner.

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E. Bilan :

Le résultat se révèle un reflet moins exact de mes goûts que la saison passée ; non pas qu'il soit erroné (à part concernant le théâtre, sans commune mesure avec mon ressenti), mais il caricature certaines tendances (avec de gros pôles lied, décadents, tragédie lyrique). Tout simplement parce qu'après une saison de test des salles, je prends mes habitudes avec ce qui me fait le plus plaisir en salle.

Niveau objectif, j'avais fixé la grosse trentaine (ayant atteint une moyenne d'un concert par semaine l'an passé, soit un peu plus que prévu), et je déborde sur la petite quarantaine à cause d'un certain nombre de petites productions rares et imprévues, souvent parmi les grands moments de la saison.

L'ensemble de ces soirées (oeuvres et interprétation) sont résumées dans le fil de la saison par quelques paragraphes ou un lien vers la notule correspondante.

Bilan qualitatif à venir.


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Commentaires

1. Le mercredi 29 juin 2011 à , par T-A-M de Glédel

« En revanche, la toute petite place du théâtre est là faute d'avoir totalement trouvé mes repères en la matière : déçu par la sonorisation systématique des comédiens-français, je n'ai pas trouvé de théâtre où je prenne mes quartiers. L'offre est tellement touffue et obscure (contrairement au concert, difficile de se faire aisément l'image d'une pièce récente, nouvelle, adaptée, etc.). »

Ceci s'explique aussi par le fait que l'offre théâtrale, bien que quantitativement gigantesque, est peu qualitative et trop peu aventureuse (ou si elle l'est, totalement absconse)...

L'année prochaine, je n'ai coché qu'un truc à la Comédie-française, et ce n'est même pas du théâtre : Lais et Fables de Marie de France.

2. Le jeudi 30 juin 2011 à , par DavidLeMarrec

Je ne dirais pas qu'elle est peu aventureuse alors que c'est probablement le secteur du spectacle où on assiste au plus grand nombre de créations, sans parler de tous les dispositifs bizarres et variés qu'on y rencontre.

Mais si on s'intéresse au patrimoine, oui, on a des difficultés à trouver des titres rares de "grands auteurs", et plus encore des pièces d'auteurs qui ne fassent pas partie du petit nombre des célébrités. Ca existe, mais vu l'éclatement de l'offre, il faut vraiment chercher dans tous les recoins.

Mon Ibsen récent, c'est par hasard en ayant vu mention du Pouvoir de l'Amour de Royer, et en allant chercher les informations sur le site du CRR que j'ai remonté la pise jusqu'au Théâtre de l'Aquarium... Et encore, c'est une pièce de maturité d'Ibsen... ce n'est pas demain qu'on verra Les Prétendants à la Couronne, je le crains. Alors que c'est une oeuvre considérable et très prenante d'un auteur extrêmement joué... et un morceau de patrimoine aussi, puisqu'Ibsen y est à la fois très influencé par la figure tutélaire danoise d'Oehlenschläger et par les recettes... de Scribe !

Pour la Comédie-Française, j'ai quand même relevé Goldoni, Gogol, Peer Gynt et Amphytrion. Mais tu vas me dire que la CF ne défend pas le patrimoine, en l'occurrence. Il est vrai que si on veut du Jodelle, du Viau ou même plus modestement du Lesage, ce n'est pas là qu'on le trouvera. Dommage, parce que les comédiens-français sont typiquement ceux qui par leur adresse technique pourraient soutenir les grands blocs des tragédies de Garnier et Mairet.
On ne peut pas être partout cela dit, et ce sont leurs adaptations d'oeuvres étrangères qui m'ont jusqu'à présent le plus convaincu, étrangement.

3. Le jeudi 30 juin 2011 à , par T-A-M de Glédel

« Je ne dirais pas qu'elle est peu aventureuse alors que c'est probablement le secteur du spectacle où on assiste au plus grand nombre de créations, sans parler de tous les dispositifs bizarres et variés qu'on y rencontre. »

« Création » est un bien grand mot... Moi qui aime le théâtre à texte littéraire, j'ai beau avoir essayé pas mal de trucs (je feuillète souvent aussi les publications récentes), j'en suis toujours (à une exception près) ressorti en criant à l'ignominie.
Du coup, je m'abstiens la plupart du temps.

Ma prochaine tentative ira justement vers les expériences bizarres, certainement du côté de la Gaîté Lyrique, afin de voir comment le théâtre peut cohabiter avec le numérique. Je ne me fais pas trop d'illusions néanmoins.


« Mais si on s'intéresse au patrimoine, oui, on a des difficultés à trouver des titres rares de "grands auteurs", et plus encore des pièces d'auteurs qui ne fassent pas partie du petit nombre des célébrités. Ca existe, mais vu l'éclatement de l'offre, il faut vraiment chercher dans tous les recoins. »

Hugo est présent parcimonieusement, Voltaire est introuvable, c'est dire l'insignifiance du patrimoine sur les planches...


« Pour la Comédie-Française, j'ai quand même relevé Goldoni, Gogol, Peer Gynt et Amphytrion. Mais tu vas me dire que la CF ne défend pas le patrimoine, en l'occurrence. Il est vrai que si on veut du Jodelle, du Viau ou même plus modestement du Lesage, ce n'est pas là qu'on le trouvera. Dommage, parce que les comédiens-français sont typiquement ceux qui par leur adresse technique pourraient soutenir les grands blocs des tragédies de Garnier et Mairet.
On ne peut pas être partout cela dit, et ce sont leurs adaptations d'œuvres étrangères qui m'ont jusqu'à présent le plus convaincu, étrangement. »

Goldoni ou Musset, j'irai peut-être. Dario Fo m'intrigue. Molière, Racine, Marivaux non merci. Feydeau à l'Académie, je ne comprendrai jamais. Ibsen, j'en ai déjà vu deux.

Après, je ne rêve pas concernant le théâtre de la Renaissance. À la scène, ce serait difficile pour un public contemporain. À mon plus grand regret car effectivement, certains titulaires de la CF pourraient y déployer toute leur technique.
Mais à partir de 1640, tout est jouable, et il n'y a rien.

4. Le vendredi 1 juillet 2011 à , par T-A-M de Glédel

L'autre Ibsen, ce fut Solness le constructeur.

5. Le samedi 2 juillet 2011 à , par DavidLeMarrec

« Création » est un bien grand mot... Moi qui aime le théâtre à texte littéraire, j'ai beau avoir essayé pas mal de trucs (je feuillète souvent aussi les publications récentes), j'en suis toujours (à une exception près) ressorti en criant à l'ignominie.
Du coup, je m'abstiens la plupart du temps.

Création est le mot adéquat en tout cas : on joue beaucoup de nouvelles pièces. Après, on n'y trouve pas forcément son compte, et cela réclame toujours une prise de risque importante, mais par rapport à la musique, on est quand même bien plus du côté du renouvellement !


Ma prochaine tentative ira justement vers les expériences bizarres, certainement du côté de la Gaîté Lyrique, afin de voir comment le théâtre peut cohabiter avec le numérique. Je ne me fais pas trop d'illusions néanmoins.

Tout ça à cause du nom du théâtre... :)


Hugo est présent parcimonieusement, Voltaire est introuvable, c'est dire l'insignifiance du patrimoine sur les planches...

Je n'ai pas dit qu'il y avait tout ni assez (Voltaire reste catalogué comme "rareté"), je suis le premier à regretter d'avoir des difficultés à trouver des représentations de ce répertoire... sans parler de choses plus mal-aimées (et effectivement discutables !) comme le théâtre de Dumas ou Delavigne.


Dario Fo m'intrigue.

Excellent metteur en scène ; je ne suis pas forcément convaincu par les références médiévales de l'auteur dramatique. En tout cas assez déçu par le Mystère Bouffe de la saison 2009-2010, donné au même endroit.


Molière, Racine, Marivaux non merci.

Oh, des pièces rares, pourquoi pas. Et puis tu n'as pas dû voir toutes les célèbres sur scène, j'étais content de voir le Mariage ou Cyrano par les comédiens-français-sonorisés.


Feydeau à l'Académie, je ne comprendrai jamais.

J'avoue m'être posé la question aussi, quant à la représentativité de la langue... mais enfin, il y a suffisamment de pièces chaque année à la CF, on peut tout à fait produire du Feydeau. Par des comédiens virtuoses, c'est d'autant plus amusant.


Ibsen, j'en ai déjà vu deux.

Dukkehjem et ?
Ibsen est un de mes points faibles, je ne résiste jamais à prendre une place pour une pièce que je n'ai pas vue sur scène, ou à la promesse d'une bonne mise en scène. Trois en deux ans, mais parce que je n'ai pas pu en trouver plus (à moins de collectionner les maisons de poupées, qui n'est pas non plus sa meilleure pièce).


Après, je ne rêve pas concernant le théâtre de la Renaissance. À la scène, ce serait difficile pour un public contemporain. À mon plus grand regret car effectivement, certains titulaires de la CF pourraient y déployer toute leur technique.
Mais à partir de 1640, tout est jouable, et il n'y a rien.

Je suis tout à fait d'accord, mais même pour Corneille et Racine, on joue toujours les mêmes. Alors Rotrou ou du Ryer...
C'est bien dommage, j'abonde.

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David Le Marrec

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