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Jeu des erreurs

On en voit au moins deux raisonnablement volumineuses...

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Commentaires

1. Le vendredi 6 juillet 2007 à , par Philippe[s]

C'est assez affligeant, effectivement (et j'adore ceci : ... Bayreuth (en Allemagne - NDLR) ...)
Sinon, la réaction du "président Nicolas Sarkozy", ce n'est pas une troisième erreur ?

2. Le vendredi 6 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Affligeant, je ne sais pas, mais involontairement comique, sûrement. Le problème est surtout qu'on se dit qu'ils font sans doute pareil avec la géopolitique...

Je voix deux grosses erreurs et au moins trois petites, Nicolas Sarkozy non compris. :)

Je laisse encore chercher ceux qui veulent jouer, puis je donnerai les réponses, parce que tout de même, c'est si énorme... (captures d'écran faites, si besoin)

3. Le vendredi 6 juillet 2007 à , par jdm

Quousque tandem, Davillina, luciburgensibus aequalibus tuis stigmata impones ?

4. Le vendredi 6 juillet 2007 à , par jdm

Ce qui est scandaleux, pour moi, c'est qu'on ne parle même pas de son interprétation du duo des chats !
Et puis, nos amis luxembourgeois, comme tous leurs confrères, n'ont fait que recopier l'annonce diffusée par EMI (tu sais, la grande interprète de Debussy que tu encenses sur ton site underground).
Enfin, j'ai tout de même vérifié : Bayreuth est bien en Allemagne, mais le Palais Garnier n'est pas à Bayreuth ; d'autre part, aller en Bavière en passant par Londres, Vienne et New York, ça tient de la croisière au long cours – pourquoi ne pas faire escale à Malte ?

5. Le samedi 7 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Quousque tandem, Davillina, luciburgensibus aequalibus tuis stigmata impones ?

Jusques au temps où nous serons tous lassés d'en rire, je crois. :)


Et puis, nos amis luxembourgeois, comme tous leurs confrères, n'ont fait que recopier l'annonce diffusée par EMI (tu sais, la grande interprète de Debussy que tu encenses sur ton site underground).

Qui parle aussi de Gounod et qui fournit la même photographie ?


Enfin, j'ai tout de même vérifié : Bayreuth est bien en Allemagne, mais le Palais Garnier n'est pas à Bayreuth ; d'autre part, aller en Bavière en passant par Londres, Vienne et New York, ça tient de la croisière au long cours – pourquoi ne pas faire escale à Malte ?

Oui, de façon collective. Et Philippe de la Nouvelle Europe pourrait y étudier le maltais, de façon à fournir l'une des perles manquantes à nos institutions supranationales : un pont letton-maltais.

6. Le samedi 7 juillet 2007 à , par jdm

David :
Qui parle aussi de Gounod et qui fournit la même photographie ?

Wiki associe Gounod et Régine Crespin.
N'y aurait-il pas une confusion entre Berlioz, La Damnation, et Gounod ? Eh bien, non. Régine Crespin a chanté Gounod, et, bien précisément L'air des bijoux.
Quant à la photo, elle n'est pas datée, elle est mauvaise. Meilleure, une photo d'il y a dix ans...
Il reste qu'il y a eu comme une confusion dans les archives de RTL et que la photo présentée est bien celle de Françoise Pollet.

7. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Philippe[s]

Les anglais sont timbrés : lu sur le site d'Abeille musique :
" En mars dernier, le mensuel BBC Music avait demandé à un jury composé de 22 spécialistes d’établir un palmarès des vingt plus grandes sopranos de tous les temps. Régine Crespin était arrivée en douzième position, derrière Maria Callas, Joan Sutherland, Victoria De Los Angeles, Leontyne Price, Birgit Nilsson, Montserrat Caballé, Lucia Popp, Margaret Price, Kirsten Flagstad, Emma Kirkby et Elisabeth Schwarzkopf "
Il y a des choix qui se discutent, mais EMMA KIRKBY, tout de même...

8. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Bajazet

« Régine Crespin a chanté Gounod, et, bien précisément L'air des bijoux. »
Eh bien non, ce n'est pas Crespin qui le chante dans cette anthologie dont tu donnes le lien. Je ne sais pas qui c'est mais ce n'est pas Crespin, ça c'est sûr.
Elle a gravé en revanche la ballade du roi de Thulé dans le programme français publié par Accord, dir. Etcheverry.

Je me demnade meme si elle n'avait pas chanté le rôle sur scène à ses débuts.

9. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Bajazet

Le choix d'Emma Kirkby s'explique peut-etre autrement que par chauvinisme. ;-)
Pourquoi pas, après tout, dans ces classements imbéciles (comme si "soprano" désignait quelque chose d'homogène…), distinguer une des plus grandes musiciennes de l'après-guerre ? Je ne suis aps fou de l'organe de Kirkby, mais c'est une musicienne phénoménale, quand même.

10. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Bajazet

Bon, la confusion est évidente entre les 2 Marguerite en effet, et sinon elle n'a chanté Brünnhilde que pour une seule série de représentations à Salzbourg en 1967 : confusion avec Sieglinde qu'elle a en effet chanté "souvent".

11. Le samedi 7 juillet 2007 à , par jdm

Bajazet :
Eh bien non, ce n'est pas Crespin qui le chante dans cette anthologie dont tu donnes le lien. Je ne sais pas qui c'est mais ce n'est pas Crespin, ça c'est sûr.

Bien sûr ! Comment ai-je pu ne pas reconnaître à l'oreille absolue l'imitation amusante mais approximative de Jamel Debbouze ?
Euh..., Bajazet, "Kirby [...] musicienne phénoménale, quand même", là tu prends grave un risque auprès de David.
[je ne peux pas en dire plus]
A tous ;) et n'oublions pas Régine Crespin, même dans les airs qu'elle n'a pas chantés.

12. Le samedi 7 juillet 2007 à , par jdm

Je reprends - les chats miaulaient de faim, il y a six heures qu'ils n'avaient eu sous la dent que quelques mulots, pas bien gros encore...
Evidemment, même sur trente secondes, ce n'est pas Régine. Martha Angelici ? En tout cas, c'est bien Régine Crespin qui interprète Que L'air Est étouffant! et Habanera.
Quant au Duetto buffo di due gatti, Duo de chats, je m'en souviens, d'une émission télévisée, quand ? où ? avec Mady Mesplé, il me semble ? Lumières et références d'un éventuel enregistrement bienvenus.
A tous les lutins.

13. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Bajazet

Le Duo des chats était avec Martina Arroyo, aussi hilarante et somptueuse que Crespin, à l'occasion d'un Grand Échiquier, au siècle dernier. Crespin appréciait beaucoup Arroyo, je crois, artistiquement et comme personne.
Cette séquence fut souvent reprise depuis, par exemple dans les hommages de Mme Ruggieri.

14. Le samedi 7 juillet 2007 à , par jdm

Exaque, le Grand Echiquier, grand merci, Bajazet. Pas d'enregistrement connu de l'émission, même dans les Ruggieris hommages ? L'album avec Schwarzkopf est mauvais (technique d'enregistrement, non pas interprétation).

15. Le samedi 7 juillet 2007 à , par Bajazet

Si comme il est probable, Mme Ruggieri rediffuse le Portrait de Crespin ancien, on verra ce Duo des chats.

16. Le samedi 7 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Bonsoir à tous !


Que de passage !
A propos des réponses.

Jdm :
Wiki associe Gounod et Régine Crespin.
N'y aurait-il pas une confusion entre Berlioz, La Damnation, et Gounod ? Eh bien, non. Régine Crespin a chanté Gounod, et, bien précisément L'air des bijoux.
Quant à la photo, elle n'est pas datée, elle est mauvaise. Meilleure, une photo d'il y a dix ans...
Il reste qu'il y a eu comme une confusion dans les archives de RTL et que la photo présentée est bien celle de Françoise Pollet.

Ca tombe bien, je suis inscrit sur Wikipédia, il faudra que je me charge d’aller lui tirer les oreilles sur ce point lorsque les fureurs nécrophages seront passées.

Sinon, oui, c’est bien la confusion avec La Damnation et la photographie de Françoise Pollet, qui ne joue pas franchement dans la même cour et qui est à ma connaissance bien portante. C’est un peu incroyable, tout de même, encore pour Varnay, qui n’est connue que des wagnérostraussiens, admettons, mais là.... étonnant.
Pour les nécrophiles les plus ritualisés, il doit y avoir là une terrible odeur de sacrilège.

Je n’avais pas fait attention à l’histoire de la fréquence des rôles que note Bajazet, c’est vrai, une seule Brünnhilde, et moins réussie qu’au studio (un peu plus forcée vocalement et moins subtile, comme pour l’ensemble du plateau, et dans un son vraiment moyen).

Sinon, pour les petites erreurs, tout à fait minimes, mais nombreuses au point qu’on perçoit très nettement à quel point le sujet est plus exotique que les antipodes aux journalistes ayant rédigé la courte nécrographie.

- « Sa tessiture soprano dramatique ». On parle de tessiture de soprano dramatique. Rien de grave, ça montre juste que la familiarité avec le domaine n’est pas, disons, excessive.
- « Brunehilde », orthographe française qui conviendrait fort bien pour Sigurd, mais qui montre surtout un souvenir phonétique du nom en question.
- Je ne m’attarde pas sur l’argument stéréotypé « elle avait tout chanté », surtout pour ne citer que des compositeurs du XIXe siècle (« de Verdi à Bizet, de Berlioz à Wagner »). (Il est vrai qu’elle n’était pas spécialiste de l’avant-1800.)
- Enfin, stéréotype tout aussi incontournable, la « personnalité chaleureuse » (forcément, on interroge toujours les amis proches, jamais les ennemis…). De ce que j’ai pu entendre à ce sujet, elle n’était pas plus avenante qu’une autre (pas odieuse non plus), en tout cas pas de quoi le signaler dans une telle notice, censée caractériser le personnage.


Ca fait beaucoup, tout de même, et ça fait sourire. (un peu crispé quand on songe au reste)


Je reviens à part sur le cas KIRKBY.

17. Le dimanche 8 juillet 2007 à , par Bajazet

C'était une personnalité chaleureuse puisqu'lle était de Marseille !
Bon, on rigole, mais ce cliché, vous n'imaginez pas à quel point il est vivace.

Il existe donc un live de Salzbourg 67 ? (le disque a été enregistré 6 mois avant à l'automne 66)
Si c'est la première, je rappelle que la pauvre Crespinette s'était tordu la cheville en entrant en scène et qu'elle a dégusté toute la soirée.

Pour Brunehilde, vous pinaillez… La francisation de l'orthographe ne me choque nullement, c'est toujours mieux que de l'écrire à l'allemande sans ü.

P.S. Crespin a bien chanté Marguerite de Gounod à la scène au début, ya même une photo dans ses mémoires :-/

18. Le dimanche 8 juillet 2007 à , par jdm

Bajazet :
Crespin a bien chanté Marguerite de Gounod à la scène au début, ya même une photo dans ses mémoires :-/

Il est dit, ici et là, un peu partout on trouvera des pages sur l'internet, qu'elle a fait sa première grande scène à Garnier, dans le rôle de Marguerite du Faust de Gounod, en 1950. Or, je trouve dans le Dictionnaire de la musique, Larousse, 1987 [je ne suis pas allé chercher loin] : "Après ses débuts à Mulhouse, en 1950, dans le rôle d'Elsa de Lohengrin (Wagner), elle débute à Paris, l'année suivante, successivement dans Tosca" etc., sans mention du Faust de Gounod. Il y a suspicion.
Une fois de plus, CSS induit un échange à propos du mode de communication de l'information sur la toile, c'est-à-dire non pas tant du contenu que de la forme et de la fiabilité des annonces.
A moins de fouiller dans des archives improbables (y a-t-il bien eu un Faust de Gounod, à Garnier, en 1950 ? au moins), il est, ontologiquement (je sais que David aime bien le sucre glace), impossible de démontrer que ce qui n'existe pas n'existe vraiment pas et ça remonte à Parménide qui le tenait d'un lointain aïeul néanderthalien.
Pour Brü (avec ou sans ¨)n(n)ehilde, on chipote, c'est le petit vice, pas caché et fort sympathique de David.
Allez, il y a un Bar qui m'attend, il paraît que Goldberg, au comptoir, fait des cocktails sensass !

19. Le lundi 9 juillet 2007 à , par Bajazet

J'avais toujours lu que les débuts de Crespin étaient en effet pour cette Elsa à Mulhouse, ce que Crespin confirme elle-même dans ses mémoires, mais les hommages parus ces derniers jours dans la presse donnent à la place une Charlotte à Reims quelques mois avant. Bizarre.

"Je fis mes débuts à l'Opéra en août 1951 dans Lohengrin [avec Raoul Jobin, dir. Cluytens], et encore à l'Opéra-Comique en Tosca, deux rôles que je continuai à chanter, ainsi que Les Noces de Figaro, Cavalleria rusticana et une des 8 Walkyries." (ses Mémoires, toujours).

Pas de mention du Faust. Mais à la page d'après, quand elle raconte qu'après que son contrat n'a pas été renouvelé à l'Opéra au printemps 1952 (M. Lehmann la trouve "trop grosse") elle a fait un régime draconien, on lit "je recommençai à chanter Faust à Marseille". Doit-on comprendre qu'elle l'avait effectivement chanté auparavant à Paris ?

20. Le lundi 9 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Bajazet :
Bon, on rigole, mais ce cliché, vous n'imaginez pas à quel point il est vivace.

Si tu parles du cliché sur les sudistes, j'ai comme la vague impression que ça sent le vécu.

Il existe donc un live de Salzbourg 67 ? (le disque a été enregistré 6 mois avant à l'automne 66)

Oui, bien sûr, tout le Ring a été publié ! Ce n'est pas très passionnant (son très lointain, une mono prise au fond du Großes Festspielhaus), les chanteurs ont moins le loisir de faire dans la subtilité, et on note pas mal de petites imperfections dans la réalisation - naturellement, vu les risques déjà pris en studio avec une distribution "légère"...

Les représentations se sont faites sur deux ans dans le désordre. Pour la Walkyrie, c'est le 19 mars 1967 qui a été capté. On trouve Christa Ludwig en Fricka et quelques différence pour les walkyriettes.

Référence : Memories, HR 4107/10. Vendu très cher, il me semble.


Pour Brunehilde, vous pinaillez… La francisation de l'orthographe ne me choque nullement, c'est toujours mieux que de l'écrire à l'allemande sans ü.

C'est juste que ce n'est pas l'usage : ça confirme, avec tout le reste, le manque d'habitude du pauvre bougre qui a dû relire en diagonale Wikipédia pour sortir la notice dans les vingt minutes, avant le bouclage.


P.S. Crespin a bien chanté Marguerite de Gounod à la scène au début, ya même une photo dans ses mémoires :-/

Je n'ai jamais dit le contraire, mais on ne peut pas dire qu'elle ait marqué la postérité dans ce rôle, et difficilement penser que le rédacteur de cette splendide notice en était informé.

Par ailleurs, France Info a répété en boucle "qui s'est illustrée dans Wagner", amusant comment elle est perçue d'emblée, comme celle "qui a su en remontrer en musique même aux Allemands".
Ce n'est pas faux au demeurant, Wagner a tenu une grande place pour sa postérité.


Jdm :
Une fois de plus, CSS induit un échange à propos du mode de communication de l'information sur la toile, c'est-à-dire non pas tant du contenu que de la forme et de la fiabilité des annonces.

Et j'en suis ravi. Au moins on s'amuse un peu.


(je sais que David aime bien le sucre glace),

Oui, au risque d'être répétitif.

impossible de démontrer que ce qui n'existe pas n'existe vraiment pas et ça remonte à Parménide qui le tenait d'un lointain aïeul néanderthalien.

C'est exactement cela. Dès qu'il y a médiation, la parole crée le réel.

Il ne nous reste plus qu'à délayer un peu ça et produire un ouvrage de philosophie collective (et participative), avec un titre à la modestie adéquate :

Les Mensonges de l'INTERNET - ce qu'ils vous ont caché.


Pour Brü (avec ou sans ¨)n(n)ehilde, on chipote, c'est le petit vice, pas caché et fort sympathique de David.

Il fallait lire le manuel d'utilisation avant, la maison ne reprend ni n'échange ce type d'objet !


Allez, il y a un Bar qui m'attend, il paraît que Goldberg, au comptoir, fait des cocktails sensass !

Tout à fait, servis avec des ruisselets de cassis glassé.


Bajazet :
"Je fis mes débuts à l'Opéra en août 1951 dans Lohengrin [avec Raoul Jobin, dir. Cluytens], et encore à l'Opéra-Comique en Tosca, deux rôles que je continuai à chanter, ainsi que Les Noces de Figaro, Cavalleria rusticana et une des 8 Walkyries." (ses Mémoires, toujours).

Je ne m'avance pas sur ces exégèses de haute volée ; une chose est sûre, ici, elle parle de l'Opéra de Paris.
Oui, c'est évident, mais comme je ne sais pas quoi ajouter...

21. Le lundi 9 juillet 2007 à , par Maître K. P. Lo

DavidLeMarrec :
cassis glassé

est-ce que ce ne serait pas plutôt glacé ?

22. Le lundi 9 juillet 2007 à , par jdm

Maître K. P. Lo :
est-ce que ce ne serait pas plutôt glacé ?

Non, il s’agit d’une paronomase, version implicite, c'est-à-dire qu’on ne peut comprendre que si l’on connaît la haine de David pour Glass.
Un cassis est aussi un dos d’âne – autre sournoise allusion de DLM.
Attention, David a des pouvoirs magiques. Récemment, j’ai voulu écouter Glass, dans une compilation "Nonesuch" de compositeurs américains contemporains. Le disque n’est plus reconnu par mon lecteur !

23. Le mardi 10 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Je ne suis pas le seul à avoir des superpouvoirs... D'autres semblent être dotés d'une belle ubiquité. <8-)

C'est pratique, ça permet de gérer les commentaires de façon plus rapide lorsque les réponses sont déjà fournies. :)


Jdm, que diriez-vous du poste de contremaître des Lutins ?
(fouet fourni)

24. Le mardi 10 juillet 2007 à , par jdm

Jdm, que diriez-vous du poste de contremaître des Lutins ?

Maître, éventuellement. Je propose de créer des commissions avec des sous-commissions assignées à des tâches bien précises. Je suis à l'écoute des partenaires sociaux lors d'un petit déjeuner saucisson beurre et Muscadet.

25. Le vendredi 20 juillet 2007 à , par DavidLeMarrec

Concernant Kirkby, je suis un rien stupéfait aussi, parce que dans la lignée des petites voix inoffensives à fort accent, on trouve tout de même quelques autres noms un peu consistants.
Mais c'est tout l'intérêt de ces classements, qu'il y ait quelques suprises liées au terroir...

C'est toujours plus réjouissant que de lire l'idolâtrie de gosiers incapables d'expression (ou même d'une prononciation un tant soit peu correcte) comme Nilsson ou, dans une moindre mesure, Caballé. La stature internationale de ces deux dames montre bien à quel point l'opéra est largement investi par les amateurs de voix, avant la musique ou le théâtre...
On note aussi la prime aux légendes consensuelles et aux cadavres encore frais, dans ce genre de liste.

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