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[Carnet d'écoutes] Porpora, Caldara, Graun, etc. - album Sacrificium de Cecilia Bartoli



Le visuel a comme toujours été abondamment commenté.

Vraiment impressionnant comme la voix se bonifie d'année en année... Et quel plaisir de retrouver Antonini et Il Giardino Armonico, avec leur inventivité débridée et leurs textures folles - et très belles !

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Programme très intéressant, qui contient quelques futurs tubes :

  • côté virtuose façon Agitata da due venti (Griselda de Vivaldi) : Cadrò, ma qual si mira, air de Demetrio dans la Berenice de Nicola Porpora, semblablement virtuose et aussi inspiré musicalement ;
  • côté élégiaque façon Gelido in ogni vena (Farnace de Vivaldi) : Misero pargoletto, air de Timante à l'acte III du Demofoonte de Carl Heinrich Graun, une longue plainte très marquante.


D'une manière générale, peu de déchet dans ce programme trié sur le volet, de quoi nourrir les idées de récital des collègues...

[Il faut dire qu'eux passent leur temps sur les scènes et pas dans les bibliothèques ou les studios, on ne peut pas tout faire...]

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Une fois de plus, elle ouvre la voie, et tire toujours l'ensemble du monde musical vers plus de virtuosité et de curiosité. Lorsqu'on songe qu'elle a fait la révolution Vivaldi à elle toute seule, en révélant qu'il n'était pas le compositeur que d'un Orlando un peu poussiéreux, mais de toute une gamme d'opéras dans le même goût que ses concertos ! Et elle le prouvait en ouvrant son album par une citation, précisément, du Printemps dans la pastorale héroïque Dorilla in Tempe.

Je suis toujours impressionné par la façon dont Bartoli parvient, à force de recherches, à échapper à la monotonie de ce répertoire. Et à traîner derrière elle l'ensemble de la profession et bonne part du public. Après ça, la manière de chant est ce qu'elle est - bizarre.


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Commentaires

1. Le samedi 10 octobre 2009 à , par Sylvain

>> Lorsqu'on songe qu'elle a fait la révolution Vivaldi à elle toute seule

Jean-Christophe Spinosi a aussi peut être un peu participé non ? Sans parler d'autres chefs, comme Federico Maria Sardelli ou le tchèque Ondřej Macek (pour Argippo).

Je ne sais pas qui a fait la "révolution" Vivaldi, mais le maintient de sa popularité beaucoup y ont participé. D'ailleurs ca a tellement marché qu'aujourd'hui on ne peut pas passer au rayon classique de la Fnac sans voir les beaux visages illustrant les pochettes de La fida ninfa, Orlando furioso ou Griselda en tête de gondole. S'en est même agaçant à la longue, car on dirait qu'ils ne vendent que ca et se fichent totalement du reste. Les "News Discoveries Edition Vivaldi" qui sortent tous les 15j... pfff...

Je n'ai aucune idée de ce que le baroque représente en termes de volume de ventes par rapport au reste du répertoire "classique", mais au niveau du marketing, c'est littéralement du matraquage. Sans parler de tous ces nouveaux enregistrements sur "instruments d'époque"...

Ceci étant dit, et nonobstant mon mauvais caractère sur tout ce qui concerne le baroque, je me soigne et j'ai tout de même certains de ces albums ; et je les écoute parfois. Mon répertoire baroque est certes limité, mais tout n'est pas rangé dans ma cave. Et puis j'aime beaucoup le personnage de Bartoli, cette femme a un côté curieux, enjoué, modeste et passionné qui m'a toujours beaucoup plu, même si la texture de la voix est inhabituelle. Enfin, c'est une des chanteuses qui m'ont donné le gout de l'opéra et de Gluck, et pour cette raison, je suis toujours avec beaucoup de plaisir ce qu'elle fait.

2. Le samedi 10 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Quand je parle de révolution, c'est bien du déclic dont il s'agit. Avant, il n'y avait que les érudits qui savaient que Vivaldi avait composé autre chose de profane vocal qu'Orlando - je veux dire que ça n'avait une existence que livresque, alors qu'on jouait du Haendel partout et des concertos de Vivaldi partout.

Bartoli a sorti son disque, et tout ce que vous décrivez ensuite, la collection Naïve, les chefs spécialistes comme Spinosi, ont déboulé dans une proportion inconcevable.

C'est vraiment un acte de création, comme si d'un coup, elle avait inventé que Vivaldi avait fait de l'opéra, ce qui était très minimisé, voire tu (!) dans les notices de vulgarisation.


C'est pour ça que je parle d'avoir été seule à faire cette révolution, parce que c'est son disque qui a tout déclenché. Vivaldi avait fait du vocal profane, et en plus ça a plu. (Personnellement, je n'avais pas été renversé par l'album, je trouvais que Rossini lui seyait mieux et que c'était plus intéressant, même si aujourd'hui, avec une vision plus étendue de Rossini, je serais prêt à rediscuter l'intérêt - je connaissais tout simplement le meilleur...)

Il y a peu de cas comme cela, dans l'Histoire de la musique, et encore plus, peut-être, de l'interprétation, où un acte d'une personne isolée bouleverse à ce point les horizons. Depuis, tout le monde veut enregistrer du Hasse (qui était certes déjà joué de temps à autre) et du Porpora (qu'on ignorait superbement).


Bien sûr, on n'a pas découvert que Vivaldi avait caché qu'il avait fait de l'opéra... mais c'est cela qui a déclenché, de façon absolument indubitable, et l'intérêt du public, et l'avalanche de productions vivaldiennes qui a suivi. Elle a, à elle toute seule, créé la demande.

Elle peut se présenter aux élections quand elle veut. Donnez-nous des Bartoli et nous n'aurons même plus besoin des dents pour trouver le point de croissance.

3. Le samedi 10 octobre 2009 à , par Sylvain

Je ne connaissais pas la chronologie des évènements et ne savais pas à quel point elle avait été l'initiatrice de tout cela. C'est très étonnant en effet.

4. Le samedi 10 octobre 2009 à , par vartan

Ce n'est pas tellement étonnant finalement quand on écoute la passion qu'elle insuffle à ces oeuvres. Loin de la recherche de la simple virtuosité (Jarrousky), elle a considéré ces oeuvres comme authentiquement capable d'émouvoir le public. C'est là son culot je trouve. Et ça a marché au-delà de ses espérance je crois.

Ceci dit, la pochette est une des plus laides que je connaisse. Un corps en décomposition ? 8-!

5. Le samedi 10 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Oui, Sylvain, pour moi, on peut véritablement parler, sans tirer les mots par leurs cheveux, de coup de théâtre.

Vartan, je dirais plutôt qu'elle a une énergie qui parle plus directement au public que d'autres, mais de là à faire de Jaroussky un pur produit instrumental, c'est peut-être pousser un peu non ? :-) Ce qui est gênant chez lui, c'est surtout l'homogénéité lisse et la monochromie du timbre... Mais c'est lié à la technique des contre-ténors, qui est une aberration historique et technique que l'Histoire finira par rejeter aux oubliettes, j'imagine. Ca n'a pas de rapport direct avec les qualités des interprètes à mon avis. :)

6. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par vartan

Oui, je suis sans doute excessif, mais malgré tout, Cecilia ne dédaigne pas trahir le beau son pour porter plus avant l'expression. Toujours eu l'impression d'une certain ronronnement chez Jarrousky qui au demeurant ne reste pas de marbre mais favorise quand même - à mes oreilles - l'aspect technique. Ensuite, il faut être un peu folle (ou fou) pour crever l'écran des roucoulades du seria.

7. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Oui, il travaille beaucoup l'homogénéité de son timbre, mais que veux-tu faire en fausset non mixé ?

En plus, je crois que tu lui fais un mauvais procès, parce que lorsqu'il a chanté le rôle-titre de Rinaldo tout le monde criait au naufrage, et on a découvert une substance, une inspiration et même des graves très impressionnants.

C'est sûr que si tu penses à son Sant'Alessio de Landi ou à son album Vivaldi, c'est beaucoup plus lisse.

8. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par Licida :: site

"Depuis, tout le monde veut enregistrer du Hasse (qui était certes déjà joué de temps à autre) et du Porpora (qu'on ignorait superbement)."

Vous vous emportez l'ami! Porpora ça commence certes un peu, mais Hasse est encore totalement méprisé: à part deux, trois pièces sacrées à droit à gauche, on a pas enregistré un seul de ses opéras depuis la Cleofide par Christie; même quand Genaux veut faire un album Hasse, on la force à mettre du Handel avec pour que ça se vende. Je m'étonne d'ailleurs que même dans cet album, Bartoli n'ait pas mis de Hasse; si cela pouvait signifier que son prochain disque lui soit entièrement consacré, ce serait formidable...

9. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Ce que je voulais préciser, c'est que j'ai entendu des représentations de Hasse à la radio avant ladite Révolution, et que ça n'a pas non plus débloqué le phénomène Hasse.

Je crois que Hasse se différencie trop peu de Haendel pour pouvoir s'imposer : il a pour bonne partie le tempérament élégiaque de Haendel, et on a redécouvert des choses plutôt dans le versant brillant depuis. Il n'est pas trop à la mode, quoi.

C'est dommage en effet, d'autant que Christie n'est pas extrêmement électrisant ni dans ce répertoire en général, ni dans la Cleofide en particulier.

10. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par Jorge

Ah David! J'attendais avec impatience un billet sur ce disque. Personnellement, je l'écoute en boucle depuis qu'il est disponible sur MusicMe (même à Prague, on a accès à ce site ce qui n'est pas le cas de Deezer ou Jiwa, d'ailleurs). C'est un pur festival ! La voix a atteint une maturité sublime et me semble procurer de plus en plus d'émotion sans que cela se fasse au détriment de la technique. Le répertoire choisi est rarement chanté et pourtant que de délices ! Même si les morceaux lents se ressemblent à force d'écoutes successives. Enfin, quelle joie de retrouver un IGA voluptueux et dompté magistralement par Antonini, loin des emportements des années 2000.

Ca m'a consolé du ratage de Kozena dans Vivaldi (ce qui ne m'empêche pas d'aller voir la dame dans ce répertoire au Rudolfinum dans quelques semaines)...

11. Le dimanche 11 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Tu es trop généreux d'attendre ça de moi, alors que je n'ai pondu qu'une notulette... et que je ne parle pas tant des nouveautés. Mais une fois de plus, j'ai été emporté par le travail de recherche et le sens de la conviction de CB...
Comme quoi il est possible d'être à la mode et original.

Pas comme le concert de Schreker de ce soir, assez original mais dans une salle totalement vide.


Oui, la voix devient ambrée, moins nasillarde ou en tout cas mieux compensée. C'est étonnant comme ça s'améliore de disque en disque.
Maintenant, il est vrai qu'en ne chantant qu'assez peu et toujours le même album, c'est plus évident qu'en chantant dix Wagner à Paris et vingt Mozart à Amsterdam dans le même mois.

12. Le mardi 13 octobre 2009 à , par Sylvain

>> assez original mais dans une salle totalement vide.

Oui, et cela crée d'ailleurs une ambiance assez bizarre.

Pour ma part, j'ai beaucoup aimé l'intro de Die Gezeichneten mais avant tout parce que la musique elle même me plait passionnément et je pourrais l'écouter via un téléphone que je serais tout de même ému.

Pour le reste, j'ai été beaucoup plus partagé. J'ai trouvé parfois l'orchestre un peu brouillon, (sans parler de la fausse note du premier violon... oh le pauvre!). Mais bon, je suis un peu difficile, parce qu'il y a eu quelques moments magiques tout de même, et j'ai mangé une bonne glace pendant l'entracte. ;-)

Mais je crois que je suis définitivement imperméables aux représentations "hors contexte", et j'aime trop l'opéra pour n'en voir que des extraits.

13. Le mardi 13 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Je voudrais en toucher un mot lorsque j'aurai une minute, mais effectivement, à ne jouer que des Préludes, on avait l'impression d'entendre la même oeuvre en boucle, c'est très inférieur à l'effet de Schreker dans un opéra complet.

Orchestralement, c'est nettement mieux que l'ONBA qui jouait à Bordeaux (orchestre tout à fait correct au demeurant), donc j'étais très content, vu la réputation des Pasdeloup et les enregistrements pas très beaux des années cinquante-soixante. En fait, c'est vraiment un bon orchestre, même s'il n'y a pas le fondu et le brillant des meilleures phalanges.

Je n'ai pas du tout trouvé ça brouillon, justement, et la Symphonie de Chambre était même l'une des toutes plus belles que j'aie entendues (malgré le bidouillage du nombre de cordes, même pas proportionnel à la licence de Schreker sur la partition)...

14. Le mardi 13 octobre 2009 à , par Sylvain

>> Symphonie de Chambre était même l'une des
>> toutes plus belles que j'aie entendues

J'avoue que je n'y ai pas été très sensible mais je l'ai découverte ce dimanche... donc pas vraiment de point de repère. Mais effectivement, les musiciens semblaient contents de leur performance en tout les cas.

15. Le mardi 13 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

C'est peut-être un peu éclaté pour apprécier en première écoute ? En tout cas, j'ai toujours beaucoup aimé, on y retrouve les mêmes qualités que le Prélude à un Drame, mais avec moins de mélodisme, quelque chose de plus abstrait. Et j'aime beaucoup.

16. Le mardi 13 octobre 2009 à , par Sylvain

Même sur Der Ferne Klang... je crois que je suis trop habitué à Albrecht que j'ai écouté 10 fois, et je n'ai d'ailleurs même pas le dvd Nagano/Lehnhoff comme point de comparaison. Pour dire si mon jugement est limité.

A quand Die Gezeichneten à l'opéra de Rennes ?

17. Le mardi 13 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Albrecht... pour les Gezeichneten ? >:-s

Pour le coup, c'est brouillon (ultracoupé aussi, il manque des tas de choses essentielles dans l'intrigue comme dans la musique), ça sonne plutôt postromantique alors que ce n'est pas vraiment l'esthétique, l'orchestre est hésitant et très peu homogène... Mon choix est fait sans hésiter ! (En plus ce n'est pas particulièrement bien chanté.)

Nagano / Lehnhoff, c'est superbe musicalement, avec de belles idées scéniques, mais ultracoupé (j'avais fait le décompte dans les notules sur le sujet, des dizaines de scènes et de personnages, et un tiers du dernier acte), et l'acte III est totalement dynamité par la mise en scène.

Il faut écouter, parmi ce qui est disponible au disque, Zagrosek en priorité et De Waart. Et ce n'est pas de la coquetterie d'esthète désoeuvré, c'est vraiment qu'il manque des choses essentielles et que ce n'est pas en place chez Albrecht (une des premières exécutions de cette époque avec Gielen, et prise sur le vif). C'est étonnant d'ailleurs, parce que c'est la seule fois que j'aie entendu un Albrecht décevant (surtout que lui, pour faire du hors-style dans ce répertoire !). Probablement un manque fatal de répétitions avec des musiciens peu habitués à ce langage.

18. Le mercredi 14 octobre 2009 à , par Sylvain

>> Albrecht... pour les Gezeichneten ? >:-s

J'ai eu le Zagrosek après Albrecht, car pas facile à trouver. Et comme la première écoute est fondamentale pour des oeuvres pareilles, cela explique peut être que j'y sois sensible. Cela explique peut être pourquoi je l'aime bien. Et quand je dis que je l'aime bien, en ce qui concerne l'ouverture, je pèse mes mots.

Peut être que vous trouvez brouillon parce que tous les instruments sont presque sur le même plan sonore, au contraire de dimanche. Mais sinon, on ne peut pas dire que l'ouverture n'est pas en place. Enfin je pense.

19. Le mercredi 14 octobre 2009 à , par DavidLeMarrec :: site

Bonjour Sylvain,

Je ne pensais pas au Prélude, mais à la suite de l'oeuvre... il y a de vrais moments de flottement, pour ne pas dire de déroute, dans le premier acte.

Ce qui me gêne, c'est plutôt le caractère cru des timbres, le mauvais fondu : le détail que l'on entend n'est pas voulu, il est conjoncturel selon l'équilibre hasardeux des pupitres.

Pour avoir une véritable idée de la façon dont ça peut sonner, il faut écouter ce qu'en ont fait Gielen à Francfort au milieu des années 80 et surtout Zagrosek à Stuttgart (en 2002). Ca n'est malheureusement pas commercialisé, même pas sûr que ça ait été radiodiffusé pour le second, et pourtant, c'est là où l'on voit tout ce qu'on peut faire des jeux de timbres et des échos de motifs dans cette oeuvre. Vraiment, c'est d'une maîtrise qui n'est pas comparable à Albrectht.

En l'absence, Zagrosek studio (malgré un troisième acte un brin pépère) reste une splendeur sonore très détaillée et intelligente, et De Waart se tient bien aussi.

Mais Albrecht, vraiment, ça me fait de la peine. Après ça, je comprends bien qu'on soit attaché à des choses imparfaites pour tout un tas de raisons - celle d'avoir reçu l'émotion de l'oeuvre en premier avec une version étant souvent très forte. Disons simplement qu'il ne faut pas en rester là, et comme vous avez pu écouter le Zagrosek de Decca (à noter, réédité par Arkivmusik.com), je n'ai pas la moindre objection à formuler. :)

Bonne journée !

20. Le mercredi 14 octobre 2009 à , par Sylvain

Passionnant tout ca et merci pour la visite guidée David.

Bonne journée aussi.

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David Le Marrec

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