Comme annoncé ici et là (et pourtant nous avions fait savoir notre scepticisme sur ce point), disque un peu sage. Par rapport à ses concerts brûlants, étonnante circonspection, une impression d'absence - les ravages du studio... Même la diction s'y trouve étrangement relâchée.

Sinon, voix splendide et sens de l'atmosphère, évidemment. Accompagnement de Marcon comme toujours très impressionnant techniquement. Plus frémissant.




(A lire aussi sur CSS, le compte-rendu de sa dernière Mélisande et l'esquisse de portrait de Magda.)

(Remerciements à Kia.)