Par DavidLeMarrec,
vendredi 18 juillet 2008 à 18:13 ::Badinages
Une adorable caricature en vidéo de la présidentielle américaine.
Deux précisions sur la traduction française :
un jeu de mots sur le containment vietnamisant d'Al-Qaida (scène du porte-avions) n'a pas été traduit ;
on entend très bien l'accumulation absurde de mots creux autours du change chez Barack Bambi, ne pas se laisser abuser par le texte français à peu près sensé.
Par DavidLeMarrec,
vendredi 4 juillet 2008 à 12:16 ::Badinages
En ce moment même, depuis vingt minutes, se déroule un débat autour de l'insertion d'une virgule dans un article du projet de loi sur la modernisation de l'économie. Respect.
Par DavidLeMarrec,
dimanche 22 juin 2008 à 15:43 ::Badinages
Nous sommes sauvés, les mythes fondateurs se perpétuent, en s'adaptant toujours avec imagination et goût à leurs contemporains.
Merci France 2 ! [Qui est déjà, rappelons-le, ainsi que toute la classe politique l'a martelé, un service public de qualité.]
ELEKTRA
Dimanche 22 juin à 23:35 sur France 2 (95 min)
En 16/9
Interdit aux moins de 10 ans
L'histoire
Après la mort sanglante de ses parents, Elektra découvre qu'elle est ressuscitée. Dès lors, elle n'aspire plus qu'à se venger et se condamne à l'exil. Elle s'entraîne dans la plus pure tradition du ninjitsu et devient une tueuse professionnelle, la meilleure du circuit, une véritable légende. Mais elle découvre bien vite que donner la mort ne suffit pas à justifier son action. A bout de nerfs, elle sait que sa prochaine mission sera la dernière.
Par DavidLeMarrec,
vendredi 11 avril 2008 à 21:33 ::Badinages
(dans l'art, bien entendu)
Pas nécessairement par perversité gratuite, on peut défendre aussi la thèse du bon goût esthétique.
D'une part à cause du stéréotype des gentils, souvent exceptionnellement peu crédibles psychologiquement.
D'autre part en raison du peu d'intérêt structurel des bons caractères sur le plan dramaturgique : comment maintenir une tension sans dysfonctionnements ?
En fin de compte, il est tout à fait normal de préférer l'idiosyncrasie des villains au désespérant conformisme moral et social des good guys. Ou bien d'apprécier, précisément, le côté haïssable de ces gentils pénibles - ou bien plus détestables que la moralité d'une oeuvre désire nous les montrer. Côté opéra, l'exemple de Calaf dans Turandot paraît excellent : il est pensé comme héros, mais intéresse justement à cause de sa vanité criminelle. Du panache mais pas d'éthique. Un gentil haïssable et très payant - parfait, en somme.
Puisqu'on vous le dit : une nécessité esthétique de bon goût.
P.S. : Tout à l'inverse, pour accéder à la BNF, mieux vaut disposer tout à la fois d'un DEA Sciences de l'Administration et d'un appartement sur Paris. La lecture de leurs règles provoque à chaque fois chez les lutins des fou-rires (jaunes).