Diaire sur sol - Commentairescompléments par entrées brèves du site _Carnets sur sol_tag:operacritiques.free.fr,2024:/dss/index.php/2024-03-19T02:36:50+01:00DotCleardaily12024-03-19T02:36:50+01:00Frédéric Vassar – Wotan - DavidLeMarrec2024-03-08T18:03:51+01:00tag:operacritiques.free.fr,2024-03-08:/dss/384/346DavidLeMarrecBonsoir <b>Olivier-qui-dit-bonsoir</b> ! <br><br>
Oui, je trouve ça incroyable. Et pour un âge bien tendre de surcroît. Hélas les chanteurs de sa génération ont fait un sale boulot comme profs, et leurs qualités n'ont pas été transmises. (Typiquement, les élèves de Jérôme Correas, qui avait hérité de bien des qualités de Xavier Depraz, n'ont pas du tout le même profil…)Frédéric Vassar – Wotan - Olivier2024-02-24T19:36:52+01:00tag:operacritiques.free.fr,2024-02-24:/dss/384/345Olivier<p>Bonsoir<br />
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Quelle remarquable diction !</p>Plagier avec discernement - DavidLeMarrec2024-02-24T14:45:07+01:00tag:operacritiques.free.fr,2024-02-24:/dss/342/344DavidLeMarrecLa malhonnêteté, c'est l'efficacité.Plagier avec discernement - Brascoin2024-02-23T18:44:01+01:00tag:operacritiques.free.fr,2024-02-23:/dss/342/343Brascoin<p>Le plagiat, c'est le progrès.</p>Il Fauno di marmo : la MALEDIZIONE - DavidLeMarrec2024-01-07T18:22:31+01:00tag:operacritiques.free.fr,2024-01-07:/dss/371/342DavidLeMarrecMerci pour ton éclairage <b>Mickt</b> ! <br><br>
Ça n'a effectivement pas été signalé comme une erreur, mais il aurait été tout de même intéressant d'en être informé avant les vingt secondes qui précèdent la projection… (et leur supposé résumé était particulièrement insuffisant)<br><br>
À la séance de Rozier, c'est même encore pire, puisque c'était le mauvais film qui avait été restauré… c'est-à-dire que le film en question dort toujours dans un coin, dans un état inconnu, et qu'on ne peut même pas le reprogrammer un autre jour dans un an ou deux, qu'il faudrait le faire entrer à nouveau dans la file d'attente des restaurations, et sans la perspective d'une rétrospective : autant dire que ça n'arrivera pas avant un prochain anniversaire. <br><br>
« Une belle pellicule nitrate a potentiellement de quoi faire flamber toute la salle (malheureusement c'est interdit en France). »<br>
Merci de ne pas associer <i>Carnets sur sol</i> à tes entreprises terroristes ! <br><br>
Oui, la debussyte est effectivement une maladie infectieuse très répandue chez les pianistes improvisateurs !Il Fauno di marmo : la MALEDIZIONE - mickt2023-12-27T13:14:46+01:00tag:operacritiques.free.fr,2023-12-27:/dss/371/341mickt<p>(je voulais rajouter : ces accidents font partie du charme de la pellicule. C'est à la projection d'une matière vivante et instable qu'on assiste, et pas à la lecture d'un fichier informatique.)</p>Il Fauno di marmo : la MALEDIZIONE - mickt2023-12-27T13:10:47+01:00tag:operacritiques.free.fr,2023-12-27:/dss/371/340mickt<p>Merci pour ce compte-rendu ! Néanmoins je me dois de te décevoir : s'agissant de films anciens, une copie qui présente des manques, et parfois des béances énormes, ce n'est pas exceptionnel. La Cineteca fait un travail remarquable de restauration, donc j'imagine que la copie sur laquelle ils travaillaient était lacunaire ou que certaines séquences étaient irrécupérables.<br />
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Non le truc véritablement unique c'est que soit projeté, comme à la séance de Rozier, *le mauvais film* sans que personne s'en rende compte. (ça peut arriver qu'un projectionniste très étourdi lance la mauvaise bobine, mais normalement il y a quelqu'un pour le lui signaler.)<br />
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De manière générale une projection de cinéma c'est loin d'être toujours simple : sur pellicule surtout on est exposé à toutes sortes d'accidents. Le plus commun est aussi le plus pénible : les couleurs de la copie qui virent et gâchent une bonne partie de l'intelligibilité et du plaisir (mais les films en noir et blanc sont préservés de ce phénomène). Il y a aussi les copies très rayées, celles qui n'arrêtent pas de sauter, celles qui se désagrègent en pleine projection. Une belle pellicule nitrate a potentiellement de quoi faire flamber toute la salle (malheureusement c'est interdit en France). Et plus prosaïquement si on va voir une sortie récente il y a souvent des problèmes de format d'image, de mixage et de balance du son, de luminosité (énervant, d'autant que presque personne ne semble s'en rendre compte).<br />
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Quant à Mathieu Lecoq, je l'ai déjà entendu à la fondation Pathé mais sans son violoncelle, ça rend curieux ! Je suis allé voir hier un film de Jacques Feyder, accompagné par Satsuki Hoshino, une de mes préférées dans l'exercice, très juste lorsqu'il s'agit d'illustrer l'action ou de prendre plus de recul, et moins portée sur les harmonies debussystes que certains de ses camarades dont c'est le péché mignon. On entend plus Ravel, Prokofiev, des références classiques.</p>Finale du Troisième Concours d'Art Lyrique de Strasbourg - 1 - Anna KASYAN - DavidLeMarrec2018-01-18T23:04:00+01:00tag:operacritiques.free.fr,2018-01-18:/dss/174/337DavidLeMarrecSi même les Géorgiens ont le russe pour langue domestique, comment nous blâmer de ne pas bien les distinguer ensuite ? :)<br><br>
Plus sérieusement, oui, bien sûr, peut-être pas tant la respiration que l'articulation des consonnes d'expiration, chaque langue a un emplacement précis pour ses voyelles et consonnes dont tous les équivalents API du monde ne rendent qu'une image approximative.<br><br>
Ça change en effet tout pour le chant ! Il suffit de comparer les préceptes de l'école italienne d'opéra (chant antérieur, résonateurs exclusivement faciaux) à ce que fait l'école slave orientale (grosses résonances pharyngées !), et les deux parviennent à produire des chanteurs très sonores qui font carrière jusqu'à leurs vieux jours en ravissant le public…<br><br>
Je ne crois en avoir écouté d'autre que liturgique, et j'avais effectivement été très favorablement impressionné. S'il y a de bons disques ou de bonnes adresses en ligne, particulièrement sérieux / authentiques / réjouissants, je prends volontiers !<br><br>
Désolé pour les captchas… mais si je les retire, je me retrouve à une vingtaine de messages d'arnaques ou de pornographie (russes, pour la plupart, il n'y a pas de hasard).Finale du Troisième Concours d'Art Lyrique de Strasbourg - 1 - Anna KASYAN - Caroline2018-01-17T13:40:13+01:00tag:operacritiques.free.fr,2018-01-17:/dss/174/336Caroline<p>Ce que vous dites me rappelle un stage de respiration (!) lors duquel l'intervenante, le premier jour, alors que nous nous appliquions à expirer s'arrêta devant mon "tss..." et demanda, l'air inquisiteur : "Europe de l'Est ?"<br />
Je n'en eus pas le sifflet coupé mais en fus tout de même soufflée (pardon...) et bredouillai que j'étais à moitié géorgienne, mais qu'on parlait russe à la maison quand j'étais petite. D'après elle, ça s'entendait dans ma manière de respirer ! (Et donc de chanter, j'imagine, mais je n'ai plus revu cette prof)<br />
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Mais pour en revenir à nos moutons : je ne sais pas si vous êtes très porté sur les musiques traditionnelles, mais le chant polyphonique géorgien (liturgique ou non) est de toute beauté.<br />
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PS : c'est bien laborieux de poster mes commentaires ! je crois que votre bazar est trop intelligent pour moi.</p>Finale du Troisième Concours d'Art Lyrique de Strasbourg - 1 - Anna KASYAN - DavidLeMarrec2018-01-16T10:25:53+01:00tag:operacritiques.free.fr,2018-01-16:/dss/174/335DavidLeMarrec(d'ailleurs, depuis, la petite Kasyan a fait quantité de podiums – rarement première, souvent deuxième ou troisième – dans énormément de concours internationaux, et assuré une carrière très honorable dans la partie d'Europe que je surveille)<br><br>
(je n'aime pas vraiment davantage ce qu'elle fait, en revanche)Finale du Troisième Concours d'Art Lyrique de Strasbourg - 1 - Anna KASYAN - DavidLeMarrec2018-01-16T10:24:08+01:00tag:operacritiques.free.fr,2018-01-16:/dss/174/334DavidLeMarrecBienvenue <b>Caroline</b> !<br><br>
J'espère bien que vous n'êtes pas d'accord avec tout, mon idiosyncrasie et mon goût douteux en seraient offensés. (Et c'est en tout cas rassurant pour votre insertion sociale dans la mélomanie.)<br><br>
Oui, quelque part (assez récemment…) dans les 9 années qui nous séparent de cette notule, j'ai découvert cela à mon grand étonnement (et je me suis plus correctement exprimé depuis en évoquant <a href="http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/10/17/2970-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-1-slaves-orientaux-et-voisinage" target="_blank">leur répertoire</a>) : des basques orientaux, en somme ! Il faut dire que, mon contact avec la Géorgie s'étant largement limité aux interprètes lyriques (et à la politique récente, où leur inclusion dans le voisinage slave se manifeste de différentes façons, les territoires comme les hommes politiques y semblant hautement exportables…), leur phonation lyrique est complètement identique à celle des slaves orientaux, vraiment très proche de l'amplification pharyngée caractéristique des Russes et Bulgares !<br><br>
Lorsqu'on commence à regarder l'alphabet, la grammaire, l'architecture (et, je suppose, l'histoire longue, les coutumes et mille autres choses qui m'ont échappé), c'est une autre affaire, en effet.<br><br>
Merci pour ce gentil mot, merci pour cette précision, et à bientôt peut-être dans ces pages !Finale du Troisième Concours d'Art Lyrique de Strasbourg - 1 - Anna KASYAN - Caroline2018-01-16T00:06:15+01:00tag:operacritiques.free.fr,2018-01-16:/dss/174/333Caroline<p>Cher tenancier de ce double blog,<br />
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Merci pour le soin mis à compiler tout cela, je suis loin d'être d'accord avec tout et c'est tant mieux mais c'est très aimable à vous de mettre votre érudition au service d'autrui.<br />
J'arrive évidemment après la bataille, mais juste une précision : les Géorgien.ne.s ne sont pas des Slaves, ni leur langue ni leur culture ne sont slaves, etc. (et à toutes fins utiles : l'arménien non plus).<br />
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Bien à vous,<br />
Caroline</p>R. Strauss – Der Rosenkavalier – R. Ticciati, R. Jones - DavidLeMarrec2015-02-08T14:55:21+01:00tag:operacritiques.free.fr,2015-02-08:/dss/324/332DavidLeMarrec<p>Bonjour <strong>Diablotin</strong> ! <br />
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Oui, bien sûr, Ticciati est non seulement un chef qui a une carrière, mais en plus un très bon chef — son Enfance du Christ est l'une des meilleures parues, et pas uniquement grâce à la distribution. <br />
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En revanche, pour une scène chic comme Glyndebourne, je doute que son nom dise grand'chose à la majorité du public, même informé. C'est un chef qui fait une grande carrière, mais ce n'est pas un artiste célèbre à proprement parler… </p>R. Strauss – Der Rosenkavalier – R. Ticciati, R. Jones - Diablotin2015-02-08T14:25:13+01:00tag:operacritiques.free.fr,2015-02-08:/dss/324/331Diablotin<p>Ticciati n'est tout de même pas un parfait inconnu, il commence à enregistrer pour un label audiophile -Linn Records- des choses intéressantes, dont une Fantastique de Berlioz, intéressante, très loin des grosses machines habituelles -petit effectif de cordes, visiblement-. Rien que pour la prise de son, ça vaut le coup !</p>Francis POULENC - Les Animaux Modèles - David Le Marrec2013-02-24T22:45:51+01:00tag:operacritiques.free.fr,2013-02-24:/dss/274/329David Le Marrec<p>Bonsoir Olivier, <br />
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Sans prétendre à aucune spécialité, il est un fait que je suis davantage versé dans la damaserie que dans la damasserie. Amusant d'ailleurs comme la connotation n'est pas la même, alors qu'on les forme de la même façon, le français est chose bizarre. <br />
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Votre exploit est finalement admirable ; malgré le gel, vous extravaguez. Quelle souplesse ! </p>Francis POULENC - Les Animaux Modèles - Olivier2013-02-24T22:29:33+01:00tag:operacritiques.free.fr,2013-02-24:/dss/274/328Olivier<p>Bonsoir,<br />
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Et merci. Je glaçais. Il ne s'agit donc pas de quelque harmonie propre à Damas, que vous auriez ramenée après une enquête aux pays du Levant.<br />
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Vos indiscrets sont plus perspicaces que moi.<br />
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Ca ne s'améliore pas<br />
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</p>Francis POULENC - Les Animaux Modèles - David Le Marrec2013-02-24T01:35:00+01:00tag:operacritiques.free.fr,2013-02-24:/dss/274/327David Le Marrec<p>Bonsoir Olivier, <br />
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Les liens donnés explicitaient un peu l'adjectif : allusion à Jean-Michel Damase, compositeur de la veine post-poulencquienne, encore vivant, et auteur de petits bijoux comme Colombe ou L'Héritière, tous deux des adaptations littérales (ou quasi-littérale pour la seconde) de pièces très abouties. <br />
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Il fait plus froid que tout le monde, il fait plus froid que tout. </p>Francis POULENC - Les Animaux Modèles - Olivier2013-02-22T16:04:58+01:00tag:operacritiques.free.fr,2013-02-22:/dss/274/326Olivier<p>La seule référence: http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb303649237/PUBLIC<br />
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Auteur(s) : Duchesne, Louis (1843-1922)<br />
Titre(s) : Sur une inscription damasienne. [Signé : L. Duchesne.] [Texte imprimé]<br />
Publication : Paris : A. Fontemoing, 1903<br />
Description matérielle : In-8° , paginé 169-172<br />
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Note(s) : Extrait des "Mélanges Boissier"<br />
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Notice n° : FRBNF30364923<br />
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</p>Francis POULENC - Les Animaux Modèles - Olivier2013-02-22T16:01:08+01:00tag:operacritiques.free.fr,2013-02-22:/dss/274/325Olivier<p>Bonjour,<br />
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l'harmonie complètement damasienne ? Il ne s'agit pas de dalmatienne, ni de damassée. De quoi peut-il donc être question?<br />
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Il fait trop froid.</p>Messiaen - Eclairs sur l'Au-delà - David Le Marrec2012-11-28T16:29:47+01:00tag:operacritiques.free.fr,2012-11-28:/dss/257/324David Le Marrec<p>Evidemment, les aspects Turangalîla de ce gros ensemble ont leurs limites, mais globalement, j'y retrouve quand même un caractère similaire. J'écoute peu le Messiaen symphonique cela dit, je suis surtout intéressé par son oeuvre pour orgue, l'orchestre est un peu gigantesque et tapageur pour moi... </p>