• très debussyste (et quelques rares fusées plus ravéliennes) : mêmes quintes directes, même suspension, certaines couleurs héritées
  • mais avec prosodie extrêmement naturelle ; pas du tout la ronde artificialité volontaire de Debussy (prosodie fantasmatique) ; accentuation au plus proche de la langue parlée ; c'est beau, d'ailleurs
  • le piano se suffit à lui-même, pourrait fournir des pièces isolées d'un album pour piano
  • Katz toujours opaque et pas franchement gracieuse, Girod toujours magique (et style, rien que la pédale, invraisemblablement optimal)