L'album paru à l'occasion (aussi nommé Une nouvelle fête baroque) atteste, s'il était besoin, qu'il existe bel et bien des artistes en activité (Negri, Zaïcik, Sicard…), y compris étrangers (Timoshenko !), capables de phraser un beau français dans ce répertoire.

Tout est magnifique là-dedans, y compris dans la partie italienne, avec le plus beau « Armatæ face et anguibus » de Juditha Triumphans qui m'ait jamais été donné d'entendre (avec Lea Desandre, jamais aussi fulgurante qu'ici !) et tant d'autres merveilles.