Mahler – Des Knaben Wunderhorn – Oelze, Volle, Güzenich, Stenz
Par DavidLeMarrec, mercredi 5 mars 2014 à 01:20 :: Musique orchestrale :: #312 :: rss
Étrange volet : toutes les symphonies sont réussies, mais ici, Stenz, à l'opposé de sa manière habituelle (pas que dans Mahler), semble privilégier les effets d'orchestration sur le discours (il est vrai moins structuré, lieder obligent).
Christiane Oelze et Michael Volle sont bien sûr superbes, mais soudain, on entend une voix qui murmure dans le micro avec le potentiomètre à fond... c'est Oelze qui chante Urlicht. Le déséquilibre de mixage avec les autres pistes patent, on dirait un équilibre de pop, avec la voix très en avant et intégrée au fond sonore. Au demeurant, le résultat est assez beau (sans doute moins convaincant en salle pour des raisons évidentes de projection).
Cycle complet (moins un). À ce jour, le seul cycle absolument intégral est celui de Chailly, me semble-t-il (quinze titres). Abbado et Boulez le sont presque.
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