Vous croyez que je m'indigne pour ÇA ?
Non, vous êtes d'un sang-froid infrangible.
Hengelbrock est excellent dans ce répertoire XVIIe.
Oui, mais meilleur que d'habitude, j'ai trouvé. Il faut dire que la composition de l'orchestre est plus intéressante qu'à l'accoutumée, mais une sacrée urgence.
Hélas, rien n'assure que ce Giustino sera enregistré. Schwetzingen avait déjà produit un Legrenzi, La Divisione del Mondo, avec le grand Kobie et Hengelbrock, jamais gravé.
Tant pis, de toute façon, j'ai ça en boîte et je vais l'écouter attentivement.
Si un jour nous nous rencontrons, peut-être que je vous le ferai écouter dans le cadre du cercle familial, qui sait.
Je rêve où vous écoutez 3 opéras en même temps à la radio ? Et vous n'avez même pas l'air fatigué. Quel homme…
Mais non, mais non, j'ai renoncé à ce genre d'exercice faute d'installation adaptée, bien que ce soit très amusant. Avez-vous déjà essayé de faire jouer les disques "Chant du monde" sans bidouiller les haut-parleurs comme requis ? C'est terriblement divertissant, et très joli, pour peu que la musique de départ soit assez stable harmoniquement.
Testé et approuvé avec la Vestale.
En l'occurrence, ce n'est pas compliqué : Gezeichneten, Monteverdi et Legrenzi pendant l'entracte, re-Gezeichneten (en s'arrêtant après le ballet d'Elysée), puis Legrenzi jusqu'à la fin et ainsi de suite pour l'ensemble des oeuvres du soir (Galuppi, Haendel...). Ce n'est pas pleinement satisfaisant, mais vu la stigmatisation des Gezeichneten par ses solistes, ça a permis d'ouvrir des appétits !
Soyons précis : Iolantha n'était pas au Capitole mais dans la saison symphonique à la Halle aux Grains, et c'est hélas pour cette raison que j'ai loupé le concert, complètement oublié.
Dommage, c'est de la belle musique, et le chef était un habitué du répertoire.
Il n'empêche que ça reste le Capitole puisque c'est le même orchestre, c'est l'essentiel à la radio. Non mais.