Me voilà maintenant éclairée sur la signification de ces vers.
A condition de changer les mots interpolés, bien sûr.
]]>Non, c'est mal de le faire remarquer, c'est vrai.
Les remarques constructives et faites avec le sourire et gentiment sont toujours bonnes à prendre (même si on peut légitiemement rougir de se faire reprendre sur une faute pour laquelle on a déjà été pris). :-)
Bien fréquentées, bien fréquentées, tout dépend de qui on parle.
Sur une île déserte, mais très bien fréquentée malgré tout...
Me voilà maintenant éclairée sur la signification de ces vers.
Et le pire, c'est que je dois plus ou moins être à l'origine de cette entrée ;
Oh non, c'est le travers orthographique le mieux partagé du monde... C'est juste qu'on s'est relâché...
je suis aussi rouge qu'une feuille d'érable (mais pas en cette saison).
Non, c'est mal de le faire remarquer, c'est vrai.
Heu... je ne suis pas sûre d'avoir tout compris ; le "ch sch" se prononce comment ? "ch" simplement ? En tout cas, c'est difficile à retenir (enfin "difficile"...)
Je vous prie de ne pas nous mener sur ces terres meubles !
En théorie, ça se prononce Kir + ch (doux) + ch (ferme) + lager.
Mais dans les faits... il semblerait que ça se prononce plutôt "Kerk"... Ces Salzbourgeois sont décidément des gens infréquentables.
Ersticke das Pfand,
das von ihnen du empfingst :
eine Hydra wächst dir im Schoß !
Je ne sais pas d'où ça vient, mais ça m'a menée sur des terres fort bien fréquentées ! :D
Bien fréquentées, bien fréquentées, tout dépend de qui on parle.
C'est tiré de l'acte III de Walküre, j'ai juste modifié quelques mots.
Rette das Pfand,
das von ihm du empfingst :
Ein Wälsung wächst dir im Schoß !
Ce qui est approximativement :
Sauve le gage
que tu reçus de lui :
un Wälse croît en ton sein !
Entrée 6. :)
Et le pire, c'est que je dois plus ou moins être à l'origine de cette entrée ; je suis aussi rouge qu'une feuille d'érable (mais pas en cette saison).
Mais puisque c'est dit avec le sourire, je vais essayer de mémoriser ça une bonne fois pour toutes.
Ce n'est pas plus retors, si ce n'est que dans le cas russe on a deux monogrammes dont l'un a une prononciation "composée" [tch], et que dans le cas russe on a un digramme et un trigramme à prononciation "simple". Mais dans l'esprit, on n'est pas loin, c'est une superposition un peu exotique pour un français.
Heu... je ne suis pas sûre d'avoir tout compris ; le "ch sch" se prononce comment ? "ch" simplement ? En tout cas, c'est difficile à retenir (enfin "difficile"...)
Hélas, il y a tellement de choses à traiter que c'est un luxe qui serait difficile à prendre. Triste servitude.
Tu es victime de ta curiosité ! à force de réfléchir, chercher, étudier, analyser, découvrir, comprendre, on se rend compte qu'il y a toujours plus à découvrir, comprendre, étudier, analyser... Oui, la vie est vraiment dure ! 8-)
Ersticke das Pfand,
das von ihnen du empfingst :
eine Hydra wächst dir im Schoß !
Je ne sais pas d'où ça vient, mais ça m'a menée sur des terres fort bien fréquentées ! :D
]]>Et c'est toi qui me remercie !
Entrée 6. :)
(et ça ne va pas s’arranger !)
Ce n'est pas fait pour non plus.
« ch-t-ch »
C'est bien à cela que je faisais allusion. Ce n'est pas plus retors, si ce n'est que dans le cas russe on a deux monogrammes dont l'un a une prononciation "composée" [tch], et que dans le cas russe on a un digramme et un trigramme à prononciation "simple". Mais dans l'esprit, on n'est pas loin, c'est une superposition un peu exotique pour un français.
C’était de toute façon la seule que proposait la bibliothèque, ce qui m’a permis de faire d’une pierre deux coups. :-)
Je ne sais pas qui est le bibliothécaire en charge de l'approvisionnement, mais il faudra le féliciter de ma part pour ses qualités d'esthète très sûres.
Je n’imaginais pas une telle extrémité (un nœud coulant*),
Bien trouvé !
« juste » une fermeture de tes carnets.
Hélas, il y a tellement de choses à traiter que c'est un luxe qui serait difficile à prendre. Triste servitude.
Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours tendance à imaginer des « catastrophes ».
Bof, les catastrophes faisant aussi partie du quotidien... Mais non, mais non, il n'y a pas de catastrophes, il y a juste des choix, des opportunités, le monde est tout entier paré en tons rosés.
Ça, je veux bien te croire…
Je me remémore ces vers de Wagner (comme quoi, ils n'étaient pas tous mauvais) :
Ersticke das Pfand,
das von ihnen du empfingst :
eine Hydra wächst dir im Schoß !
Enfin, je dis Hydra pour ne pas déstabiliser le vers, mais c'est plutôt Schmarotzer qu'il faut entendre...
Pour Kirchschlager, il suffit de décomposer : Kir-ch-sch-lager. Un peu biscornu pour des yeux francophones, mais pour des yeux russophones, ce ne devrait pas être si terrifiant !
D’une part, mes yeux ne sont pas russophones ;-)
D’autre part, ils ont tendance à fuir les transcriptions ; et puis il n’y a pas ce « ch-sch », il n’y a que « ch » (ou « sh ») et « ch-t-ch » (même si à la prononciation ça ressemble souvent à « ch-sch », je te l'accorde).
Et puis, de toute façon, ce n’est pas un problème d’yeux, mais de mémoire.
Na.
Cela dit, je devrai quand même savoir écrire son nom…
Pour Corréas/Berlioz, après vérification, je n'avais guère d'alternative à proposer, il existe bien une intégrale (épuisée...), mais disons qu'on ne joue pas dans la même cour.
C’était de toute façon la seule que proposait la bibliothèque, ce qui m’a permis de faire d’une pierre deux coups. :-)
Les Leçons de Ténèbres avaient lieu le Mercredi Saint, ce qui (symboliquement, de même que pour le poisson du vendredi), me rendrait la tâche difficile pour dispenser des Leçons de Clarté – ou supposées telles.
Mon inculture ne m’avait pas permis de comprendre que les majuscules n’étaient pas là par hasard…(souriard qui rougit et lève les yeux au ciel (justement)). Merci de participer à mon érudition ! (un vrai mauvais jeu de mots aurait été de te remercier pour tes lumières, ou de me sortir de mes ténèbres).
C'est le "à partir de", qui m'a piégé. 8-)
Je n’imaginais pas une telle extrémité (un nœud coulant*), « juste » une fermeture de tes carnets. Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours tendance à imaginer des « catastrophes ».
En revanche, s'il faut une liste à potence en échange, ça peut se trouver sur demande. J’ai du gibier pas loin.
Ça, je veux bien te croire…
*mauvais jeu de mots numéro 3.
7. Le samedi 10 mars 2007 à 22:49, par Vartan
Toujours aussi indispensables ces Leçons de Clarté, David.
8. Le lundi 12 mars 2007 à 00:59, par DavidLeMarrec
Bien sûr, je suis flatté que tu recommandes mon travail. Dans un bon timing, qui plus est, parce qu'à partir de mercredi, ce ne sera plus possible.
Les Leçons de Ténèbres avaient lieu le Mercredi Saint, ce qui (symboliquement, de même que pour le poisson du vendredi), me rendrait la tâche difficile pour dispenser des Leçons de Clarté – ou supposées telles.
Voilà, juste un jeu de mot idiot, mais je n'avais pas l'intention de me pendre demain aujourd'hui avant 23h (peut-être après si j'avais eu des places pour Savall). Ca peut attendre jeudi vendredi. (après 13h si possible)
En revanche, s'il faut une liste à potence en échange, ça peut se trouver sur demande. J’ai du gibier pas loin.
Dans un bon timing, qui plus est, parce qu'à partir de mercredi, ce ne sera plus possible.
Faut-il s'inquiéter ?
("-Tu verras bien demain !", oui, je sais, je sais, mais je suis incorrigible...)