Carnets sur sol - Commentaires
http://operacritiques.free.fr/css/index.php
fr2017-12-23T15:56:02+01:00daily12017-12-23T15:56:02+01:00Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12541
2017-12-23T15:56:02+01:00DavidLeMarrecBonjour Jo !
Oui, tout à fait ! Je précise qu'il n'y a pas deux productions ni même deux séries cette saison, c'est moi qui ai fait erreur : j'ai mis Bonn, mais ça fait un moment que je dois corriger, c'est Berne en effet.
J'espère que ce sera au moins radiodiffusé, comme le Fervaal...Jo !
Oui, tout à fait ! Je précise qu'il n'y a pas deux productions ni même deux séries cette saison, c'est moi qui ai fait erreur : j'ai mis Bonn, mais ça fait un moment que je dois corriger, c'est Berne en effet.
J'espère que ce sera au moins radiodiffusé, comme le Fervaal donné par le même orchestre… Les extraits qui existent avec Cebotari, M. Fuchs, P. Anders et Greindl donnent furieusement envie !]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Jo
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12539
2017-12-23T14:36:22+01:00JoDas Schloss Dürande sera joué à Berne par le Berner Symphonieorchester dirigé par Venzago. Immanquable évidemment....Das Schloss Dürande sera joué à Berne par le Berner Symphonieorchester dirigé par Venzago. Immanquable évidemment.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12504
2017-11-24T19:56:41+01:00DavidLeMarrecCe n'est pas parce que je suis peu prodigue en paillardises que je ne les écoute pas, sans réprobation d'ailleurs…
Merci pour cette proposition, oui, là ça correspond très bien.
Problème avec Le Pays d'en-bas, hors contexte (même simplement plus loin dans le paragraphe comme ici),...
Merci pour cette proposition, oui, là ça correspond très bien.
Problème avec Le Pays d'en-bas, hors contexte (même simplement plus loin dans le paragraphe comme ici), personne ne songerait à Tiefland. Mais c'est joli.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Benedictus
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12503
2017-11-23T00:53:06+01:00BenedictusL'expression ne court pas les rues, mais «trouver la terre trop basse» = «être trop feignant pour se baisser», ça m'a toujours paru assez évident. (Non, pas vraiment, mais au moins, à présent, je sais que si jamais j'entonne en ta compagnie...L'expression ne court pas les rues, mais «trouver la terre trop basse» = «être trop feignant pour se baisser», ça m'a toujours paru assez évident. (Non, pas vraiment, mais au moins, à présent, je sais que si jamais j'entonne en ta compagnie les Trois Orfèvres à la Saint-Éloi ou La Digue du cul, tu ne t'en formaliseras pas; ou bien si?)
Pour Basses Terres / Hautes Terres, j'avais plutôt en tête des exemples évoquant l'élévation ou en tout cas la dénivellation («À la fin de l'Âge du Bronze, les basses terres voient l'effondrement des cités-états cananéennes sous les coups de boutoir des Peuples de la Mer, alors que sur les hautes terres de Benjamin et d'Ephraïm commencent à se mettre en place des chefferies dimorphes.») Mais oui, Le Pays d'en-bas, c'est parfait.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12502
2017-11-22T20:16:56+01:00DavidLeMarrecOui, là ce sont des extraits, donc !
Je crois que j'ai entendu cette expression… mais presque jamais, je ne voyais même pas ce que ça voulait dire. (Pourtant, il y a un côté très décadent méchant dans le poème que je t'ai soumis, non ?)
Mais jJe crois que j'ai isolé la raison pour...
Je crois que j'ai entendu cette expression… mais presque jamais, je ne voyais même pas ce que ça voulait dire. (Pourtant, il y a un côté très décadent méchant dans le poème que je t'ai soumis, non ?)
Mais jJe crois que j'ai isolé la raison pour laquelle je n'ai pas proposé basses-terres : en principe, ça ne désigne pas plutôt une histoire d'aval que l'élévation à proprement parler ? Voire un éloignement du centre du pouvoir, comme la Basse Bretagne ? En tout cas ça sonnait un peu technique, alors que là, c'est le Pays d'en-bas (qui serait sans doute une meilleure traduction, dans l'esprit, que basses terres ou terres basses).]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Benedictus
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12501
2017-11-21T15:23:03+01:00BenedictusSurtout, chez Boult la partition semble avoir été méchamment ratiboisée (même pas 80 minutes - alors que Leitner est en trois CD!)
Je ne connaissais pas (je ne prends que du paillard patrimonial, moi, Monsieur - Guédron ou les frères Jacques.) Au...Surtout, chez Boult la partition semble avoir été méchamment ratiboisée (même pas 80 minutes - alors que Leitner est en trois CD!)
Je ne connaissais pas (je ne prends que du paillard patrimonial, moi, Monsieur - Guédron ou les frères Jacques.) Au demeurant, «trouver que la terre est basse» ou «trouver la terre trop basse» n'a jamais signifié pour moi qu'«être très paresseux» - sens qui n'est guère évident dans le poème que tu as déniché.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12500
2017-11-20T23:29:59+01:00DavidLeMarrecPour ce rôle, Cochran n'est vraiment pas un problème (et Boult pourrait accentuer le côté « informe » de la chose, mais il a bien réussi les Sérénades de Brahms… il faut vraiment essayer).
Je découvre l'expression. Je ne puis que m'incliner devant la vivacité incontestable de tes...
Je découvre l'expression. Je ne puis que m'incliner devant la vivacité incontestable de tes sources littéraires.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Benedictus
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12499
2017-11-20T22:54:22+01:00BenedictusMerci pour ta célérité!
Bon, je vais donc d'abord foncer sur Doktor Faust par Leitner (mais je tenterai peut-être quand même Boult - ne serait-ce que pour Lewis, qui fait plus envie que Cochran.)
L'inconvénient de «terres basses», c'est que...Merci pour ta célérité!
Bon, je vais donc d'abord foncer sur Doktor Faust par Leitner (mais je tenterai peut-être quand même Boult - ne serait-ce que pour Lewis, qui fait plus envie que Cochran.)
L'inconvénient de «terres basses», c'est que ça rappelle un peu trop l'expression «trouver que la terre est (trop) basse.»]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12498
2017-11-20T22:38:08+01:00DavidLeMarrecBonsoir Benedictus !
1. Martha, c'est beaucoup mieux que de l'opérette inoffensive ; harmoniquement, ça bouge beaucoup contre toute attente, et tous ces ensembles qui s'enchaînent ! Mais cela mis à part, oui, ça reste du domaine du charmant : ça varie peu et ça ne surprend pas. J'aime...Benedictus !
1. Martha, c'est beaucoup mieux que de l'opérette inoffensive ; harmoniquement, ça bouge beaucoup contre toute attente, et tous ces ensembles qui s'enchaînent ! Mais cela mis à part, oui, ça reste du domaine du charmant : ça varie peu et ça ne surprend pas. J'aime bien, mais alors que je suis plus tolérant que toi sur cet aspect, je trouve que c'est un peu gentil sur la longueur, pas toujours nourrissant. Toutefois, partition en main, j'ai été surpris des raffinements inattendus. Et le studio Wallberg, évidemment, est une tuerie.
2. Doktor Faust, oui, totalement pour toi, quelque part entre le postromantisme torturé (mais sec) et les avant-gardes radicales. Un peu le point de rencontre entre Der arme Heinrich de Pfitzner et Wozzeck de Berg, pas si loin du Hindemith de Mathis, dans des tons plus noir-brun que gris sombre.
Boult n'avait pas été édité (en CD du moins) l'époque où j'ai découvert l'œuvre, je n'ai écouté que Leitner et Nagano, qui sont exactement ce qu'on peut s'en figurer avant même des les écouter : superbe directe et voix captées un peu en avant chez Leitner (sans excès désagréable), son d'orchestre beaucoup plus rond mais avec le confort moderne chez Nagno. J'avais davantage aimé Nagano à l'époque, aujourd'hui je suis persuadé que j'aimerais davantage à peu près tout chez Leitner – et toi aussi. Dans tous les cas, de très bonnes versions.
3. Oui, Heliane, c'est vraiment le cran au-dessus, en matière de menaces orchestrales ! Je n'ai pas écouté Mauceri, je crois (pour les raisons que tu dis), en tout cas pas en entier. Il paraît que la prode d'Anvers était excellente, et celle de Berlin s'annonce très bien, tente peut-être d'écouter les bandes. Mauceri a enregistré d'autres décadents de façon très décente, même si ça ne vaut pas la comparaison avec De Waart (pour Flammen), mais on peut en dire autant de Zagrosek (dont les Gezeichneten de 2002 à Stuttgart sont vertigineux, à côté de Wagner, Schreker et Gurlitt moins aboutis).
4. « Basses terres » me paraît un peu formel, ça fait conférence de géo plutôt que nom de lieu-dit prononcé par des gens simples. Mais j'ai peut-être été influencé par ma découverte de l'œuvre, avec un livret bilingue espagnol (Las Tierras Bajas).
Quant à l'Élégie, j'ai juste trouvé ça plus joli, moins commun. Et comme j'ai cité l'original avant et qu'il n'y a pas d'usage pour les titres de contemporain, je me suis fait plaisir.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Benedictus
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12497
2017-11-20T21:24:44+01:00BenedictusBonsoir, cher David!
Quelques questions, comme toujours plus ou moins discographiques:
1. C’est vraiment bien, Martha de Flotow? De loin, je m’étais imaginé un truc gentil et un peu simplet (à cause du livret, sans doute.) Mais rien que la distribution de cette...Bonsoir, cher David!
Quelques questions, comme toujours plus ou moins discographiques:
1. C’est vraiment bien, Martha de Flotow? De loin, je m’étais imaginé un truc gentil et un peu simplet (à cause du livret, sans doute.) Mais rien que la distribution de cette versions Wallberg fait rudement envie...
2. Doktor Faust de Busoni, ça devrait être assez pour moi, non? Au disque, tu me recommandes plutôt le studio de Leitner chez DG ou le live de Boult (les deux avec DFD)?
3. Si je te suis bien, Das Wunder der Heliane serait en fait beaucoup plus ma came que Tote Stadt et Violanta? Le studio Mauceri est bien? (Elle m’avait peu inspiré, à sa sortie: un chef spécialisé dans le musical, Tomowa-Sintow en fin de carrière, Gedda en post-fin de carrière...)
4. Les traductions alternatives de titres d’opéras allemands, c’est ton nouveau hobby? Dans l’usage, on parle quand même plutôt de basses terres que de terres basses; quand à l’Elégie de Henze, c’est par souci de décence que tu remplaces amants par épris? ]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12496
2017-11-19T11:52:28+01:00DavidLeMarrecOui, quelle récolte ! Je ne croyais pas qu'on en joue à ce point autant. Dans certains endroits, c'est vraiment la fête : Penthesilea, Schloß Durande et Oberst Chabert à Bonn en l'espace d'un mois ! (Les deux derniers, avec Hubay, sont sans doute les titres qui me tentent le plus, à la fois...
La vidéo de Leitner est à mon avis, aussi bien sur le plan de la direction que des individualités du plateau (Wächter et Grobe en Danton et Desmoulins, et même Stolze en Robespierre !), plus aboutie que la version Zagrosek – qui est captée assez sèchement, pas très propre orchestralement (l'ÖRF dans les années 80, mouais), très correctement chantée mais par des voix pas très séduisantes (Hollweg comme souvent, et Adam en 83 dans un rôle de baryton, c'est assez grisaille pour une œuvre qui l'est déjà). Ça ne m'avait pas vraiment convaincu au bout du compte, ajouté aux spécificités bizarres de cette œuvre un peu hors du temps et des esthétiques, partout à la fois. Et puis le visuel de Schenk aide bien à suivre si on est un peu teubê. Non, honnêtement, les jolis costumes aident bien, vu que l'œuvre cherche vraiment la couleur locale, plus encore qu'Andrea Chénier ; c'est moins aride ainsi.
Pour l'intrigue, on peut aussi lire l'original de Büchner, il me semble que c'est assez littéralement adapté, mais je n'ai pas vérifié (je n'ai pas lu ce Büchner-là !), en tout cas on a le sentiment de phrases aux périodes un peu grandes et de propos au degré d'abstraction inhabituel pour la scène lyrique.
Oui, l'ouverture de Rienzi est chouette (elle site surtout la fameuse Prière, le seul moment mélodique vaguement marquant de l'œuvre), mais pour le reste, il ne manque pas que de la mélodie, tant ni le livret, ni l'écriture vocale, ni l'harmonie, ni l'orchestration n'apportent de consolation un peu saillante à se mettre sous la dent.]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Diablotin
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12495
2017-11-19T10:31:57+01:00DiablotinPassionnante revue ! Les deux premiers Hindemith cités, le Danton de Von Einem, Die Soldaten... : que du bonheur !
Pour "la mort de Danton", outre la version Fricsay de 1947, il existe, pour plus de confort sonore, une belle version du festival de Salzbourg 1983, avec quelques...Passionnante revue ! Les deux premiers Hindemith cités, le Danton de Von Einem, Die Soldaten... : que du bonheur !
Pour "la mort de Danton", outre la version Fricsay de 1947, il existe, pour plus de confort sonore, une belle version du festival de Salzbourg 1983, avec quelques jolies pointures : Adam, Hollweg, Gahmlich, Hiestermann, Berger-Tuna, Mayr, Laki - Ch. & Orch. symph. Radio Autrichienne, Zagrosek et c'est chez Orfeo. Pour comprendre de quoi ça parle, les exclusifs francophones pourront regarder, auparavant, le film de Chereau...
De "Rienzi", je sauverai quand même l'ouverture, que j'aime beaucoup, personnellement. Mais, c'est vrai, à près de 4 heures avec aussi peu de matériau mélodique, c'est longuet !]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - DavidLeMarrec
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12494
2017-11-17T23:08:22+01:00DavidLeMarrecBonsoir Olivier !
Merci pour votre intérêt !
Hubay est assez rare en effet (dommage, vraiment intéressant), mais Řezníček (tout à fait méconnu aussi, je ne dis pas le contraire – à côté, Schreker et Schoeck, c'est les Beatles) est donné de loin en loin et surtout plutôt bien...Olivier !
Merci pour votre intérêt !
Hubay est assez rare en effet (dommage, vraiment intéressant), mais Řezníček (tout à fait méconnu aussi, je ne dis pas le contraire – à côté, Schreker et Schoeck, c'est les Beatles) est donné de loin en loin et surtout plutôt bien documenté par le disque (symphonies, autres opéras – certes pas toujours avec livret).
Les deux Mozart se trouvent depuis quelque temps, il me semble que la Pierre philosophale a même eu son moment de popularité avec plusieurs productions suite à sa redécouverte. Mais oui, clairement ils ne font pas partie du pain quotidien des scènes, alors que le Premier Commandement est assez nettement plus exaltant et personnel, de mon point de vue, que tous les opéras « intermédiaires » (Giardiniera, Bastienne, Silla, Mitridate, même Idomeneo en ce qui me concerne…).
Oui, un des choses assez stimulantes (pour moi du moins…) dans cette série est de découvrir des théâtres (voire des villes), même indépendamment des liens de la programmation… Pas mal de surprises, de voir qui joue quoi, et quels écrins dans des cités qui paraissent minuscules !
Je ne nie nullement le caractère novateur de Gluck, évidemment ; simplement une petite réserve sur le fait qu'il soit complètement sorti de nulle part… le Sabinus de Gossec en est un cinglant témoignage. Néanmoins, Gluck est le premier à l'avoir expérimenté (Alceste version italienne d'origine), et c'est bien par la première Iphigénie que la révélation a eu lieu pour le public français, difficile de le nier. (Et j'aime beaucoup ses deux Iphigénie – et Don Juan –, moins le reste.)
Oui, « décadent » n'a rien d'une étiquette officielle (ni même claire), je l'utilise par analogie (ça évite d'employer le terme déplaisant de « dégénérés », et ça met aussi la philosophie esthétique et la politique de côté), mais c'est cela en principe, l'outrance (orchestres énormes, luxuriance extraordinaire des sonorités, harmonie très mouvante) et souvent des sujets vénéneux autour de l'artiste maudit, du désir, de la psyché… Le Strauss de Salome ou Schreker en sont des parangons évidents. Après, on peut élargir à tous les postwagnériens, même les conservateurs (Pfitzner…) qui par leur sophistication ont aussi ce côté fin-de-siècle.
Bonne soirée !]]>Les opéras rares cette saison dans le monde – #3 : en allemand - Olivier
http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2017/11/15/2977-les-operas-rares-cette-saison-dans-le-monde-3-en-allemand#c12492
2017-11-17T21:21:29+01:00OlivierBonsoir,
cette saison est remarquablement riche en véritables raretés de très haute qualité
C'est assez étonnant: Hubey, Řezníček ...Jamais rien entendu
Voire de véritables exhumations: les 2 Mozart !
Dans des lieux improbables: the consul...Bonsoir,
cette saison est remarquablement riche en véritables raretés de très haute qualité
C'est assez étonnant: Hubey, Řezníček ...Jamais rien entendu
Voire de véritables exhumations: les 2 Mozart !
Dans des lieux improbables: the consul à Bremerhaven?!
Merci pour cette revue de détail.
Gluck, Iphigénie en Aulide
mais elle marque bien l'importance de cet ouvrage dans l'esthétique lyrique française.
Encore un petit effort et vous allez reconnaître le caractère novateur de Gluck.
3. Opéras postromantiques et « décadents »
Effectuez-vous un lien, même ténu, avec le décadentisme littéraire ?
]]>