Ouf1er, le 1er novembre à 13h32 sur Passée des arts :
Décidément, Eric Le Sage transforme en or, à l'instar de Midas, tout ce qu'il touche ! Et j'attends avec impatence la fin de son intégrale Fauré. Fera-t-il aussi la musique pour piano seul ? (il est permis de croire, il est doux d'espérer).
Klari, chevalier de l'Ordre du Planning Mensuel :
Eh bien, l'eusses-tu cru.
Hoho.
Dans Brahms, un son généreux, très ample, très vibré, très sonore, assez sombre, peut parfaitement convenir ; en tout cas, spontanément, j'en attendais quelque chose là, beaucoup plus que pour Fauré où je n'aurais pas cru pouvoir trouver la délicatesse nécessaire. Mais en réalité, comme le Fauré est très recueilli et "vertical", le problème du détail ne se pose pas vraiment.
Bonne fin de semaine à toi (quoi que tu fasses).