Carnets sur sol

   Écoutes (et nouveautés) | INDEX (très partiel) | Agenda concerts & comptes-rendus | Playlists & Podcasts | Instantanés (Diaire sur sol)


Résultats de votre recherche de A la d%C3%A9couverte du lied.

vendredi 9 mai 2008

Clara WIECK-SCHUMANN - Lorelei et ses prolongements

(==> Un point sur les influences, le style et les grands jalons discographiques. Et beaucoup de jolies pochettes un peu tartes.)

Influences

Nous disions hier, dans une autre présentation autour de Clara :

Par ailleurs, toujours cette superbe langue musicale, au mélodisme chopinien et à l'harmonie schumanienne.

Le premier s'explique très bien par l'attraction qu'a pu représenter le modèle chopinien (ou même Hummel et Kalkbrenner) sur la jeune virtuose. Pour Schumann, il s'avère que le style a vraiment ses parentés, mais c'est moins expliquable rationnellement.

Suite de la notule.

samedi 2 février 2008

Liederspielwerk

Carnets sur sol fera dans le badin aujourd'hui.

Grand jeu-concours. En préparant un divertissement pour un autre lieu mal famé, la fantaisie nous a pris d'en réaliser deux, et d'en proposer un ici aussi. Pour une raison simple : nous pensions illustrer musicalement notre série sur le lied, mais il est plus rapide de regrouper, dans un premier temps, les extraits musicaux.

Les propositions de réponses se font à l'adresse électronique piloris@free.fr . Les noms des participants ne seront publiés que s'ils le souhaitent, de façon à ne pas publier trop ostensiblement la gloire ou l'opprobre des plus discrets.

Le vainqueur remportera deux enregistrements de son choix parmi le fonds libre de droits que CSS n'a pas encore publié. (Vu le nombre probablement modeste de participants, les probabilités de victoire sont fortes pour chacun.)
Il y aura un lot de consolation pour tous les autres, et le dernier remportera en prime le Concerto grosso Op.6 n°5 de Haendel par Knappertsbusch. Cruelle destinée, âme condamnée...




Mise à jour : Il est toujours possible de participer. Cependant les réponses commentées ont été publiées.

Suite de la notule.

mardi 30 octobre 2007

[Sélection CSS] Musique, domaine public - XXIV – Gustav MAHLER, un panorama choisi

(ossia la sélection des Lutins)

Il y a quelque temps déjà, CSS avait proposé une succincte introduction à l’œuvre de Mahler – différant de la sorte le plat de résistance si intimidant, les vrais chef-d’œuvre du corpus (entendez les lieder de Madame) –, qui se répartissait en plusieurs entrées :

=> Mahler, caractéristiques générales ;
=> Mahler, les lieder ;
=> Mahler, les symphonies ;
=> Mahler, présentation de ''Das Lied von der Erde'' (un genre problématique) ;
=> Ecriture liederistique de Gustav Mahler.




Afin de pouvoir, parallèlement à ces propos, procurer une petite vision d’ensemble, et comme, à coups d’un enregistrement par semaine, nous n’écoulerons jamais notre camelote, voici donc le plus large panorama libre de droits de la musique de Mahler que nous ayons pu rassembler.

Nous avons fait le choix de ne pas doublonner les enregistrements, afin de proposer une sélection d’enregistrements intéressants, plutôt qu’une avalanche indécidable de témoignages qui incitent plus à la comparaison sans fin qu’à l’écoute des bandes pour elles-mêmes.

Mais, si besoin, nous disposons entre crochets les autres références dont nous disposons, si d’aventure il se trouve des souhaits précis…




Comme ces propos généraux sur un pilier du répertoire n'avaient sans doute pas été fort utile aux fidèles lecteurs de CSS, qu'ils y gagnent à tout le moins quelques perles. Et pour les autres, bonne découverte !

Suite de la notule.

lundi 15 octobre 2007

Autour de Faust - une balade sonore - Chanson de la Puce

Nous débutons donc notre déambulation dans l'univers sonore de Faust.

Vu l'étendue du sujet, on se dispense de commencer par le début, quitte à synthétiser l'ensemble dans une note à cet effet.

Nous débutons par une variation relativement légère, sur un élément pittoresque plus que dramatique - nous rencontrerons abondamment les deux. Il nous permettra de fréquenter, outre Berlioz et Gounod, des compositeurs peu connus pour leur dimension faustéenne [1] comme Beethoven et Wagner, voire peu connus tout court, comme Anton Radziwiłł.

Soyez les bienvenus.

Notes

[1] On emploie en principe et assez logiquement faustien, mais c'est tellement vilain, vous en conviendrez - et nous avions tant besoin d'un petit adjectif utile... sans doute l'attraction avec l'adjectif prométhéen, légitime, lui, nous le dicte-t-elle...

Suite de la notule.

samedi 11 août 2007

A la découverte du LIED, un mode d'emploi - VII - Hugo WOLF, 'le gris qui pense'

Notre série se poursuit sagement.

Nous passons sur les traductions en allemand de Dvořák et sur les lieder en norvégien de Grieg, parfois traduits en allemand eux aussi, sans quoi nous y passerions plus que notre jeunesse.

3.12. Hugo Wolf


3.12.1. Présentation

Hugo Wolf est, avec Schubert et Schumann, le troisième principal pilier des récitals de lied. A peu près aussi fréquent, on trouve aussi Mahler, mais qu'on pratique assez modérément en versions réduites pour piano et chant, et qui se trouve donc essentiellement comme complément de concerts symphoniques dans la répartition traditionnelle ouverture-concerto(iciavecvoix)-symphonie.
Wolf, qui, si l'on excepte son opéra Der Corregidor et son quatuor à cordes, a essentiellement écrit du lied, dispose avant toute chose d'une solide implantation dans le récitals germaniques.

On a longtemps patienté avant d'aborder ce compositeur, car il est à notre sens l'un des plus difficiles à caractériser. A cause de la variété des traitements musicaux, à cause de son langage musical retors, à cause de la responsabilité qu'il y a à présenter une pierre angulaire du genre.


3.12.2. Caractéristiques

En règle générale, on peut caractériser le langage de Wolf par une sorte de stylisation, voire d'abstraction.
Le langage musical affiche une fausse simplicité, dans des nuances de gris toujours un peu attristées, mais avec de nombreux accidents - ici un rythme légèrement modifié, là une harmonie qui n'avance pas, ici encore de discrètes syncopes... Alors que sa constitution semble simple à l'oreille, l'étude des partitions révèle un travail très précis sur la musique pure. Ce langage musical est ainsi doublement retors, parce qu'il affiche cette fausse simplicité en la reconnaissant comme telle, parfois aux confins de l'affectation. Un jeu très troublant.
Le traitement de la prosodie participe lui aussi de ce trouble, puisque Wolf demeure toujours sur le seuil, à la fois proche de la langue parlée, sans "musicalisation" du propos prosodique (contrairement à Reger ou, dans une certaine mesure, à Alma Schindler-Mahler), et dans des lignes mélodiques qui sont absolument dépourvues d'évidence, comme recréant un possible de la parole - mais un possible improbable.

Suite de la notule.

vendredi 16 mars 2007

Semaine d'écoutes

Quelques repères dans la semaine sur France Musique[s], cachés à des heures inhabituelles. Cette liste est rendue possible par la vigilance généreuse de l'ange tutélaire de Bourgogne.

Suite de la notule.

mardi 27 février 2007

Enregistrements, domaine public - IV - Hugo WOLF, lieder - Elisabeth Schwarzkopf, Wilhelm Furtwängler [ou plutôt : Richard WAGNER et Franz SCHUBERT par Max Lorenz et Leo Slezak]

En écho à notre série autour du lied, qui est demeurée jusqu'à présent aux portes de Wolf, je vous propose par anticipation cette interprétation de lieder de Hugo Wolf qui réunit Elisabeth Schwarzkopf et Wilhelm Furtwängler, en concert à Salzbourg le 12 août 1953.

Suite de la notule.

dimanche 21 janvier 2007

Partitions, domaine public - III - Lieder de Fanny Mendelssohn-Hensel

En écho à un épisode passé de notre série autour du lied, voici trois lieder de Fanny Mendelssohn-Hensel.

Suite de la notule.

jeudi 18 janvier 2007

Enregistrements, domaine public - I - Robert SCHUMANN, Dichterliebe Op.48 (Gérard Souzay, Alfred Cortot)

Depuis le 1er janvier de cette année est dans le domaine public cet enregistrement de 1956, pas extrêmement connu.

Il s'agit du second Dichterliebe enregistré de Cortot, après celui de 1935 avec Charles Panzera.

La rectitude sonore de Gérard Souzay y trouve plus sa place que dans ses Schubert, et le rubato imprévisible d'Alfred Cortot constitue une véritable curiosité.

Un enregistrement attachant, qui figure parmi les très belles réussites de ce cycle.

Que je vous place en ligne ici.




Autres suggestions : Fassbaender/Reimann, Maltman/Johnson.

Puisqu'il est question de lecture française des Dichterliebe, voici deux traductions maison pour Ich grolle nicht (près du texte pour l'une, chantable pour l'autre).
On peut également se référer à l'article correspondant de notre série sur le lied.

samedi 6 janvier 2007

A la découverte du LIED, un mode d'emploi - VI - Johannes BRAHMS

La série se poursuit avec un des piliers du répertoire.

Suite de la notule.

David Le Marrec

Bienvenue !

Cet aimable bac
à sable accueille
divers badinages :
opéra, lied,
théâtres & musiques
interlopes,
questions de langue
ou de voix...
en discrètes notules,
parfois constituées
en séries.

Beaucoup de requêtes de moteur de recherche aboutissent ici à propos de questions pas encore traitées. N'hésitez pas à réclamer.



Invitations à lire :

1 => L'italianisme dans la France baroque
2 => Le livre et la Toile, l'aventure de deux hiérarchies
3 => Leçons des Morts & Leçons de Ténèbres
4 => Arabelle et Didon
5 => Woyzeck le Chourineur
6 => Nasal ou engorgé ?
7 => Voix de poitrine, de tête & mixte
8 => Les trois vertus cardinales de la mise en scène
9 => Feuilleton sériel




Recueil de notes :
Diaire sur sol


Musique, domaine public

Les astuces de CSS

Répertoire des contributions (index)


Mentions légales

Tribune libre

Contact

Liens


Chapitres

Archives

Calendrier

« mars 2024
lunmarmerjeuvensamdim
123
45678910
11121314151617
18192021222324
25262728293031