Carnets sur sol

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lundi 19 décembre 2005

Nouvel arrivage

Dans la radio.

  • Dálibor de Smetana, la fin de l'acte I. Mit Jan Vacik en Dálibor, avec cette splendide voix mixte comme on n'en fait plus. Puis une intervention de Scott Hendricks en Vladislav, et l'incroyable duo entre Mary Mills (Jitka), absolument ravissante, et Eva Urbanová (Milada), d'une engagement très impressionnant. Le Radio-Symphonieorchester Wien, admirablement dirigé par Kirill Petrenko, de façon très idiomatique. C'est tout récent, ça date de l'année dernière. On avait un peu causé de cet opéra ici.
  • Le Sette Chiese de Bruno Mantovani, comme suggéré chez Bladsurb. Il faudrait que je retrouve les commentaires que j'en avais fait. En deux mots, les transitions entre chaque partie, centrée autour d'un petit nombre de motifs assez peu mélodiques, se font avant tout par la modification des textures - d'une chatoyance assez inouïe. Cette oeuvre a un allure comme on en recontre peu, et un ton badin irrésistible. Au total, un assemblage poétique auquel je suis très sensible.
  • Im Frühling, célèbre lied de Schubert. Par Ian Bostridge et Julius Drake. C'est tout le mauvais goût qu'on voudra, maniériste et tout et tout, mais qu'importe, ça fonctionne si bien !

mardi 13 décembre 2005

Les Kindertotenlieder par Nathalie Stutzmann

Compte-rendu du concert du 9 novembre 2005 par Sylvie Eusèbe. Merci à elle pour cette très belle contribution.
David LM.

Suite de la notule.

mardi 6 décembre 2005

Dans la radioblog II

- 5. et 6. : Extrait des Huguenots de Francfort dirigés par Guido Johannes Rumstadt. On entend y entend notamment Annalisa Raspagliosi, dont j'aurai l'occasion de parler bientôt. Ces deux extraits sont choisis à dessein.

- 4. Katerine Fuge dans Alcina. C'est vocalement une horreur, mais il y a une telle fougue que j'ai beaucoup de tendresse pour cet air. Notamment le cri très personnel à la reprise du Da Capo.

- 3. Hipartita, la dernière oeuvre de Gyury caro (Kurtág). Vingt-huit minutes de violon seul, esquissant des airs folkoriques, dans une économie poétique admirable, as usual.

- 1. et 2. Ariodante. Della Jones ne l'a jamais enregistré. Elle est ici avec Minkowski, et le résultat est stupéfiant dans le célébrissime Scherza infida : la conduction de la ligne, la beauté vocale pure, la dimension plutôt élégiaque mais aussi légèrement rageuse de son incarnation, tout concourt à en faire un moment exceptionnel.

Amusez-vous bien.

dimanche 4 décembre 2005

Mieux qu'un commentaire

Un très beau compte-rendu de Sylvie Eusèbe sur le Winterreise de N.Stuztmann/I.Södergren à Bordeaux.

Le système de présentation l'enfouit un peu trop à mon goût, aussi je tenais à le signaler ici.

David Le Marrec

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