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vendredi 28 octobre 2011

Henry Purcell - Dido and Aeneas - discographie (exhaustive ?)


1. Pourquoi ?

Chaque année, les productions de cet opéra miniature se multiplient dans le monde. Il faut dire que, d'une veine mélodique assez heureuse, il réutilise les recettes de la tragédie lyrique française (importance du récitatif ponctué d'ariettes, divertissements dansés...) en moins d'une heure, avec une belle force. Les exigences vocales en sont minimes, et il comporte plusieurs moments très marquants et accessibles, en particulier l'acte de caractère des sorcières et bien sûr la passacaille-aria finale, devenue un immense tube.

Ayant fréquenté un nombre assez important des versions disponibles sur le marché, je propose ici un petit panorama, en essayant de mentionner le maximum de celles qui ont été éditées, et en ne commentant bien sûr que celles écoutées. [J'avoue que celles qui me restent, à part Parrott II et Wentz, et encore modérément, n'attisent pas insurmontablement ma convoitise, et que je n'ai pas de hâte particulière à les découvrir...]

Bien sûr, avec toutes les réserves d'usage : j'ai tâché de décrire la typologie des versions plutôt que de les hiérarchiser, mais la discographie, plus encore que les oeuvres, fait appel à beaucoup de subjectivité, et il ne peut s'agir que d'indications à relativiser selon les goûts de chacun - certainement pas d'un bréviaire inaltérable.

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2. Discographie

Suite de la notule.

dimanche 2 octobre 2011

L'Egisto de Marco Marazzoli & Virgilio Mazzochi - premier opéra en France ?


En ce moment à Pontoise, et à partir du 19 octobre au Théâtre de l'Athénée à Paris.

On supposait que le premier opéra italien donné en France était l'Egisto de Francesco Cavalli - moins célèbre que l'Ercole Amante, avec les fameux divertissements ajoutés de la main du jeune Lully. Mais depuis un an, on a exhumé un autre Egisto qui pourrait bien être ce premier opéra, celui de Marco Marazzoli et Virgilio Mazzochi : un Egisto comique, qui depuis 1637 a circulé en Italie sous diverses dénominations : Il Falcone, ou encore Chi soffre, speri ("Qui souffre espère").

Suite de la notule.

David Le Marrec

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2 => Le livre et la Toile, l'aventure de deux hiérarchies
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4 => Arabelle et Didon
5 => Woyzeck le Chourineur
6 => Nasal ou engorgé ?
7 => Voix de poitrine, de tête & mixte
8 => Les trois vertus cardinales de la mise en scène
9 => Feuilleton sériel




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